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    Accueil»Science»Pas de Lune sans partenariat public-privé
    Une représentation artistique d'une station spatiale en orbite autour de la Terre
    Plusieurs entreprises privées rêvent de stations spatiales en orbite terrestre.

    Pas de Lune sans partenariat public-privé

    1
    Par Agence Science-Presse le 3 juin 2019 Science

    Effectuant son premier pas en vue d’un retour vers la Lune, la NASA a annoncé vendredi dernier l’attribution de trois contrats à trois compagnies privées pour des missions robotisées censées avoir lieu d’ici deux ans. Sauf que l’annonce est moins importante qu’elle n’en a l’air: essentiellement, la NASA vient de « louer » de l’espace sur des missions que ces trois compagnies avaient déjà au calendrier.

    Par exemple, la firme Astrobiotic avait participé au concours Google Lunar X Prize, qui promettait 25 millions de dollars à la première compagnie privée capable d’envoyer un robot sur la Lune. Le concours s’est achevé l’an dernier sans gagnant. Mais Astrobiotic y travaille toujours et prévoit un lancement à l’été 2021. Son alunisseur est censé transporter 18 « charges utiles » — concrètement, cela signifie le fait de « louer un espace » —, dont quatre de la NASA, vraisemblablement des instruments scientifiques. Son concurrent Orbit Beyond prévoit un lancement en septembre 2020.

    Ce faisant, l’agence spatiale américaine confirme ce que les observateurs avaient noté depuis plusieurs années: une présence accrue du secteur privé dans l’espace (ou du moins, jusqu’ici, en orbite terrestre). Et dans le contexte de cet hiver, où la Maison-Blanche souhaite voir des Américains mettre pied sur la Lune dès 2024, une implication du secteur privé sera indispensable. Moyennant, toutefois, un afflux massif d’argent public: 97 millions de dollars pour Orbit Beyond, 79 millions de dollars pour Astrobiotic, a-t-il été annoncé vendredi. Il faut aussi noter que cette « location d’espace » (12 charges utiles en tout sur les trois engins) était connue depuis février.

    À court terme, ces trois compagnies ne pourraient espérer rentabiliser des missions lunaires sans la garantie de contrats fermes avec la NASA, ou avec d’autres agences gouvernementales. À long terme, l’espoir est qu’une exploitation des ressources lunaires profite à ces compagnies. Mais même cette perspective — évoquée par le milliardaire Jeff Bezos le mois dernier — appartient à un futur indéterminé, tant l’envoi d’astronautes et la construction là-haut de bâtiments permanents prendra du temps et nécessitera des fonds qui, pour l’instant, restent très hypothétiques.


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