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    L'affiche du film

    Superpowerless, la super-normalité

    0
    Par Hugo Prévost le 20 juillet 2016 Cinéma / Télévision, Fantasia

    Hugo Prévost

    Bob a tout connu: la gloire, les filles, la fortune. Puis, plus rien. Le superhéros a vieilli, perdu ses pouvoirs, et Captain Truth a cédé le pas à un quarantenaire quelque peu bedonnant aux cheveux grisonnant. Superpowerless, présenté dans le cadre de la 20e édition du Festival international Fantasia, explore ce côté moins connu de la vie des superhéros.

    Film de vengeurs masqués sans les explosions, les effets spéciaux, voire même sans antagoniste, Superpowerless nous entraîne dans l’après. Après la célébrité, au moment où l’on se pose des questions sur le sens de la vie, sur l’utilité de ses choix jusqu’à présent.

    Crise de la trentaine, de la quarantaine, de la cinquantaine… qu’importe, une crise est bien une crise. Bob erre comme une âme en peine, toujours vêtu des vêtements d’un éternel adolescent. Sa relation avec sa conjointe est à tout le mieux fonctionnelle. L’homme tente de se mettre à écrire ses mémoires – d’autant plus que son ancien compagnon Liberty Boy vient de publier un best-seller. Mais cela l’amènera plutôt à rencontrer Danniell, une jeune femme séduite par la gloire passée de notre super-zéro. Ce dernier ressentira lui-même l’éveil du démon du midi et pourrait bien se risquer à céder aux appels de la chair fraîche.

    D’aucuns pourraient affirmer que le long-métrage co-écrit et réalisé par Duane Andersen n’est en fait qu’une histoire classique de remise en question et de crise identitaire face au vieillissement. Mais ce sont les petites touches d’humour et les références au monde habituellement glamour des superhéros qui assurent la réussite du film. Ce questionnement à savoir si Mimi, la conjointe de Bob, est la cause de la perte des super pouvoirs de ce dernier. Le moment où Captain Truth et Liberty Boy échangent des nouvelles et des potins sur le pas d’une porte, après avoir trompé la vigilance de la presse en retirant leur « déguisement », soit le capuchon d’un coton ouaté pour l’un, et un loup pour l’autre. « As-tu vu untel? » « Oh, je suis ami avec lui sur Facebook, mais c’est un peu un connard. » Comme quoi les superhéros ont aussi leur drama sur les réseaux sociaux. De toute façon, sous le costume, ce sont de véritables gens, non?

    Superpowerless est un film sur la normalité, et dans le contexte de Fantasia, où toutes les folies sont permis, il y a fort à parier que le long-métrage saura aisément se démarquer.

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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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