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    Nos ancêtres n'ont pas livré tous leurs secrets...

    La génétique des allers et retours préhistoriques

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    Par Agence Science-Presse le 16 mars 2016 Science

    Agence Science-Presse

    430 000 ans d’histoire: « nous atteignons les limites de ce qui est possible », déclare un expert en décodage de gènes anciens. Au point où l’équipe dont il fait partie, qui présentait récemment ses résultats en grande pompe, n’a pu mettre la main que sur 0,1 % du génome de ces préhumains.

    L’équipe affirme néanmoins que ce 0,1 % est suffisant pour confirmer que ces individus, qui ont vécu dans le nord de l’Espagne, n’étaient pas encore tout à fait néandertaliens… mais plus tout à fait quelque chose de plus ancien.

    Ces ossements ont suscité bien des questions dès leur découverte dans les années 1990. Outre le fait que la caverne contenait les restes d’au moins 28 individus — une rareté —, les crânes les mieux conservés partageaient des traits caractéristiques d’un Néandertalien et d’un hominidé plus ancien — ce qui serait logique, puisque les découvertes dans le reste de l’Europe n’y placent les Néandertaliens que 200 000 ans plus tard.

    Mais en 2013, l’identification d’un fragment d’ADN mitochondrial avait complexifié le problème: cela donnait à ce groupe des traits génétiques communs avec un autre préhumain, le Dénisovien, qui a non seulement vécu beaucoup plus tard, mais à plus de 6000 kilomètres de là, en Sibérie.

    Ces 28 individus du nord de l’Espagne seraient donc à la fois pré-néandertaliens et pré-Dénisoviens? C’est ce que tend à présent à confirmer l’équipe de Matthias Meyer, du Laboratoire Max-Planck d’anthropologie de l’évolution, dont l’analyse de ce génome très partiel est parue le 14 mars dans Nature.

    Très partiel, parce que l’ADN se dégrade après seulement quelques milliers d’années. Rien que pour arriver à reconstituer cette petite séquence génétique, ces chercheurs ont comparé ce qui restait de séquences d’ADN chez cinq de ces individus. Et le niveau de contamination inhérent à une telle dégradation laisse une grosse marge d’incertitude.

    Si leurs calculs sont exacts, cela place ce groupe plus près des Néandertaliens d’Europe que des Dénisoviens d’Asie. Mais surtout, ça fait reculer dans le temps le dernier ancêtre commun aux Homo sapiens, aux Néandertaliens et aux Dénisoviens, jusqu’à environ 765 000 ans: autrement dit, il y a 765 000 ans, un groupe de préhumains aurait quitté l’Afrique et commencé un parcours distinct du groupe qui allait plus tard donner naissance aux Homo sapiens.

    Lors de la présentation de ces résultats, les paléontologues n’avaient pas fini de lire la recherche que, déjà, ils étaient en train de spéculer sur la prochaine étape: cibler des fossiles humains vieux de 400 à 800 000 ans, dans l’espoir d’y trouver d’autres petits bouts d’ADN qui permettront de lever le voile sur ces tours et détours qu’ont accomplis nos lointains cousins.

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