On ne peut que constater le niveau de talent et de professionnalisme des Grands Ballets et, si on aime le ballet classique, se dépêcher de prendre des billets… s’il en reste.
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Les oeuvres d’un grand de la musique classique prennent vie sous la direction d’un chorégraphe bien connu.
Un ballet sans histoire: voilà ce qu’a livré la troupe des Grands Ballets Canadiens mercredi sur les planches de la salle Wilfrid-Pelletier, dans le cadre du programme double Danser Beethoven, à l’occasion du 250e anniversaire de naissance du célèbre compositeur.
Vendredi soir dernier avait lieu la première de l’opéra de Donizetti, Lucia di Lammermoore, une production de l’Opéra de Montréal, dans une mise en scène de Michael Cavanagh (Aïda, Suzanna, Otello, Nixon in China). Devant les décors du regretté Robert O’Hearn, et sous les éclairages d’Anne-Catherine Simard-Deraspe, c’est Fabrizio Ventura qui était dans la fosse, aux commandes de l’Orchestre Métropolitain.
Pour la quatrième fois, la troupe Ciné Concert était de passage à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Vendredi et samedi soir dernier, on y présentait Harry Potter et la coupe de feu en concert symphonique, sous la baguette de la charismatique chef d’orchestre Sarah Hicks.
C’est Rigoletto, un des opéras « populaires » de Giuseppe Verdi qui ouvrait, samedi soir, la 39e saison de l’Opéra de Montréal, à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts. Les autres représentations auront lieu les 18, 20 et 22 septembre.
Samedi soir, à la Salle Wilfrid-Pelletier de la Place des arts, l’Opéra de Montréal présentait la Cenerentola, de Rossini : une adaptation du conte de Cendrillon, de Charles Perreault. Dans une mise en scène de Joan Font, la coproduction du Houston Grand Opera, du Welsh National Opera, du Gran Teatre del Liceu et du Grand théâtre de Genève, Cendrillon a fait salle comble.
Drame déchirant de deux amours inavouables et controversés, celui à sens unique de Monseigneur Bilodeau pour Simon et celui, partagé, de Simon pour Vallier, et série de bouleversements, c’est ainsi qu’on pourrait résumer dans le plus strict essentiel Les Feluettes. Trente ans après sa création, la pièce de Michel-Marc Bouchard s’invite à l’opéra, arène idéale où le tragique peut se jouer. Et du tragique (feux, peines, larmes, passions, déclarations d’amour, déchirements, trahisons, mensonges, etc.), l’œuvre en regorge.