Proportionnellement, les non-vaccinés étaient systématiquement plus à risque d’être l’objet de cas graves de COVID conduisant à des hospitalisations, voire plus à risque d’en mourir.
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Ce virus ayant réservé sa part de surprises depuis deux ans, il est normal de jouer la carte de la prudence, mais il est trop tôt pour s’alarmer.
Si la campagne de vaccination bat son plein dans certains pays occidentaux, notamment au Canada, ou encore aux États-Unis, les pays à faible revenu, eux, doivent prendre leur mal en patience. Selon l’organisation Oxfam, les dédales administratifs et financiers sont si importants, en fait, qu’au rythme actuel, il faudra plus d’un demi-siècle pour vacciner l’ensemble des populations les plus pauvres de la planète, celles-là mêmes qui sont les plus à risque de contracter la COVID-19, et ultimement d’en mourir.
À trop parler du variant « indien », on a peut-être perdu de vue que la crise là-bas est causée par le coronavirus tout court. Beaucoup de facteurs familiers, autres qu’une mutation, expliquent la catastrophe qui a submergé ce pays ces dernières semaines.
La Colombie-Britannique est à présent le lieu de la plus grande éclosion du variant brésilien… en-dehors du Brésil.
Pas de répit de Pâques pour la COVID-19 au Québec: une nouvelle vague est en train de prendre son élan — ou l’a déjà pris, dépendamment des critères utilisés — propulsée par des variants contagieux issus des mutations du SRAS-COV-2. Peut-on l’empêcher?
Beaucoup de variants, mais pas beaucoup de variété: c’est ce qui semble se dégager des analyses génétiques de la dizaine de mutants qui ont à présent été observés un peu partout dans le monde.
À quoi ressembleraient ces courbes qu’on essaie d’aplatir, si les nouveaux variants prenaient plus ou moins d’ampleur? Une projection des huit prochains mois tente de l’illustrer pour l’Europe.
La semaine dernière, une première projection disait du variant britannique qu’il pourrait devenir la forme dominante du coronavirus circulant aux États-Unis d’ici le mois de mars. Quelques jours plus tôt, une projection similaire disait la même chose au Danemark. Et quelques jours plus tard, c’était au tour de Toronto. Cap vers la 3e vague.
Les choses se présentent mal sur le front des variants du virus. La version « britannique » pourrait devenir dominante aux États-Unis dès le mois de mars, selon la première estimation de la vitesse à laquelle celle-ci se propage. Et les essais d’un des vaccins ont été temporairement suspendus en raison de craintes sur son efficacité face au variant sud-africain.