Browsing: traitement médical

À cause des nominations des dernières semaines par la nouvelle administration Trump, il n’est pas impossible que des pressions politiques conduisent le NIH à « abandonner un champ prometteur de la recherche médicale ».

« Il faut envoyer notre relève dans les communautés en étant bien outillée, pour répondre aux enjeux complexes. C’est pour cette raison qu’il faut penser autrement la formation et y aller plus par une approche par problèmes, afin d’avoir une vision plus large que la maladie. »

Les fourmis peuvent donc faire la différence entre les deux blessures et adapter leur comportement en conséquence. Toutefois, cela ne signifie pas que ces insectes comprennent pourquoi l’intervention est appropriée, soulignent les chercheurs dans le New Scientist. Il semble plutôt qu’il s’agisse d’un comportement inné.

Le cannabis et ses composés peuvent être bénéfiques pour soulager certains symptômes comme les nausées, les vomissements, la douleur chronique et les contractions musculaires involontaires. Ces bienfaits sont toutefois accompagnés de plusieurs effets secondaires. Pour les autres bienfaits supposés du cannabis, davantage de recherche sera nécessaire, parce que beaucoup de facteurs viennent compliquer l’analyse des résultats.

Il faut rappeler qu’il s’agit d’un accord non contraignant, c’est-à-dire qu’un pays qui n’atteint pas ses objectifs n’aura aucune « pénalité ». Et c’est en partie ce qui explique qu’en 2030, il y aura toujours 575 millions de personnes vivant dans une pauvreté « extrême », 600 millions souffrant de famine et 84 millions d’enfants sans accès à une école.

Certes, entre un virus et une tumeur, il y a une marge, mais il y a plusieurs années déjà que la médecine génétique, consciente du fait que derrière une tumeur, il y a des mutations, s’est avisée que si on pouvait apprendre à notre système immunitaire à reconnaître ces mutations, on aurait fait un grand pas en avant.

Les études portant sur l’ozonothérapie ne sont généralement pas d’assez bonne qualité pour qu’on puisse évaluer son efficacité, mais les résultats ne sont pour l’instant pas encourageants. On sait également très peu de choses sur les risques potentiels de ce gaz, par définition toxique à certaines doses. 

Dans plusieurs pays, la recherche sur des cellules souches d’embryons humains est interdite depuis deux décennies. Aux États-Unis, en plus, un décret signé en 2019 interdit la recherche sur des cellules produites à partir d’embryons avortés. Or, deux des médicaments utilisés pour traiter Donald Trump contre le coronavirus n’existeraient pas sans ce dernier type de cellules.