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L’idée de consommer son placenta pour éviter la dépression post-partum et pour prendre des forces après l’accouchement fait des adeptes sur le web. Mais la pratique n’est pas forcément bénéfique pour la santé. Le Détecteur de rumeurs explique pourquoi.

En moyenne, une personne consomme davantage de calories qu’il y a 50 ans, soit l’équivalent d’un hamburger supplémentaire par jour, ce qui a des effets dévastateurs sur notre cerveau et notre tour de taille, met en garde un spécialiste de la santé de l’Université nationale australienne (ANU).

Des scientifiques ont produit plusieurs centaines d’études pendant 23 ans à partir d’un principe faux: l’idée selon laquelle un petit nombre de gènes influencerait l’état dépressif. Une étude publiée en mars dernier en fait la démonstration, rapportait récemment un article de The Atlantic.

Trouver le point d’équilibre entre la nourriture saine et la protection de l’environnement: voilà le défi des diverses économies de la planète, alors que la population continue de croître et que les problèmes de santé liés à la nourriture industrielle se multiplient.

Près de 10% de la population mondiale tombe malade, chaque année, après avoir ingéré de la nourriture contaminée par des bactéries, des virus, des parasites ou des substances chimiques. De ces 600 millions de personne, 420 000 meurent de ces maladies, indique l’ONU, qui appelle à renforcer la sécurité sanitaire des aliments.

Les campagnes de prévention du jeu compulsif se suivent… et ratent souvent leur cible: un dé roule dans une seringue; le visage d’une jeune mariée se transforme en billet à gratter perdant; un bébé annonce qu’il n’ira pas à l’université; une femme, qu’elle n’aura pas de vacances.

Important problème de santé publique, le suicide régresse néanmoins au Canada depuis les années 2000, particulièrement chez les hommes de 18 à 64 ans. Les experts constatent toutefois une légère augmentation chez les adolescents et les jeunes adultes.

« C’est le patriarcat qu’il faut électrocuter, pas les femmes », « La santé mentale ne justifie pas l’expérimental », « La mémoire, c’est sacré ». Arborant ces slogans sur des pancartes, une cinquantaine de personnes ont manifesté à Montréal à la veille de la Fête des mères, pour bannir du Québec l’électroconvulsivothérapie (ECT), mieux connue sous le nom d’électrochocs.