L’Antarctique sera l’un des « moteurs » de la hausse du niveau des océans, en raison de la fonte des glaces.
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Pour des raisons politiques, les mots « carburants fossiles » ont disparu du résumé du rapport du GIEC.
Planter des arbres serait bel et bien efficace contre les changements climatiques.
On n’avait pas connu des températures aussi chaudes depuis… 2019.
Des quelque 400 scénarios climatiques évalués dans le cadre du rapport sur le réchauffement de 1,5 degré Celsius présenté par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), à peine une cinquantaine permettent d’éviter de dépasser ce seuil souhaité par les environnementalistes. Et seulement une vingtaine avancent des hypothèses « plausibles » en matière de réduction des émissions polluantes. De quoi faire dire aux chercheurs, dans le cadre d’une nouvelle analyse du Postdam Institute, que la planète a de très fortes chances de franchir la limite de 1,5 degré.
À l’instar de détectives, des scientifiques de l’Argonne National Laboratory étudient des indices découlant de la libération de carbone dans des régions où fond le permafrost, combinant des informations pour créer des cartes détaillées permettant de prédire les impacts de la hausse des températures mondiales sur les futures émissions de gaz à effet de serre.
Sur le front des changements climatiques, le Jour de la Terre est généralement l’occasion de se rappeler que les choses ne vont pas du tout dans la bonne direction. Mais cette journée est aussi, parfois, l’occasion de se rappeler que ça pourrait être pire et que certaines actions ont eu des impacts mesurables.
Si on s’entend pour dire que la production de laitue génère moins de gaz à effet de serre que la production de viande, il n’en demeure pas moins que cette dernière production pèse moins lourd dans le bilan carbone que les secteurs des transports, des activités industrielles et du bâtiment. Faut-il du coup minimiser l’importance de la consommation de viande dans le contexte de la lutte aux changements climatiques? Le Détecteur de rumeurs fait le point.
Le déclin des populations d’insectes pourrait atteindre jusqu’à 1 ou 2% par année, selon une série de 11 études qui ont tenté d’évaluer l’ampleur du problème à l’échelle de la planète — et qui, en même temps, soulignent la difficulté à faire ces calculs.
Les pays du monde n’en font pas assez pour lutter rapidement contre les changements climatiques: le verdict, direct et clair, est tombé dans le nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE). Et le financement des efforts contre les transformations de notre climat est encore bien insuffisant, affirment les chercheurs.