Un homme. Un micro. Et des milliers de personnes scotchées à leur radio pour l’entendre. Ou le détester. Ou peut-être les deux? Voici Talk Radio.
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Le soir du 30 octobre 1938, veille de l’Halloween, Orson Welles diffuse à la radio une adaptation du roman de H. G. Wells, La Guerre des mondes. Composée d’une succession de faux bulletins de nouvelles, l’émission raconte l’invasion de la Terre par des Martiens. Depuis, une légende est née: quantité d’Américains paniqués auraient tenté de fuir. Le Détecteur de rumeurs sépare le vrai du faux.
Aujourd’hui, le ciel est rempli d’étoiles. Mais lorsque l’univers en était encore à ses premiers balbutiements, il ne contenait aucune étoile. Et une équipe de chercheurs est plus près que jamais de détecter, mesurer et étudier un signal de cette période de l’univers, signal qui voyage à travers le cosmos depuis la fin de cette période, il y a plus de 12 milliards d’années.
Plus on en sait sur les sursauts radio rapides (Fast Radio Bursts ou FRB, en anglais), plus le mystère s’épaissit autour de ces signaux extraterrestres dont on ne connaît ni la nature ni la cause.
Assisterons-nous au retour d’une troisième chaîne de nouvelles dans le marché médiatique québécois? L’annonce faite par Bell, mercredi, de l’intention d’acquérir la chaîne généraliste V, ex-TQS, laisse entrevoir un investissement dans le journalisme télé québécois. Bell n’a cependant rien confirmé en ce sens.
Avec une vingtaine d’années d’expérience comme journaliste à Radio-Canada, puis une décennie comme député, puis ministre du Parti québécois, Bernard Drainville a connu les longues heures, les débats d’idées et la volonté de changer les choses communes aux deux professions.
Il y a urgence à mieux éduquer le public au fonctionnement des médias. Ce message faisait consensus, la semaine dernière, parmi des journalistes et des experts en enseignement, réunis à la Grande Bibliothèque de Montréal, dans le cadre de la première Semaine québécoise de la presse.
Derrière les médias, il y a souvent des agences de presse, capables de fournir du contenu aux journaux, télés, radios et sites web qui en ont besoin. Et derrière l’agence de presse La Presse canadienne, il y a entre autres Mick Côté, chef des nouvelles numériques, qui veille à faciliter la modernisation de cette institution journalistique.
Si le web et les médias plus « modernes », comme la télévision, accaparent l’attention et bien souvent les moyens, la vénérable radio n’a pas dit son dernier mot. Et ici, comme de l’autre côté de l’Atlantique, de jeunes passionnés s’affairent à constamment réinventer le journalisme parlé.
Pendant deux ans, il a accompagné le réveil des auditeurs de la station de radio CKIA, à Québec. Mais pour Mickaël Bergeron, le travail journaliste est plus vaste que cette simple description: vétéran des médias, il a tenté sa chance dans plusieurs domaines – et plusieurs endroits -, et continue de faire sa marque dans la capitale et en ligne.