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Chaque année, des dizaines de milliers de volontaires en France participent à la collecte de données: oiseaux, papillons, chauves-souris… Nombreuses sont les espèces à propos desquelles on doit en savoir plus sur l’impact de la pollution ou du réchauffement climatique. Pour les programmes de sciences participatives toutefois, il n’est pas toujours simple de composer entre les exigences de la science et les attentes du public.

Forcé, comme tous les autres musées du Québec, de fermer ses portes en raison de la pandémie de COVID-19, le Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) reprend du poil de la bête et a rouvert ses portes depuis le 6 juin, en relançant son exposition Momies égyptiennes: passé retrouvé, mystères dévoilés. Rencontre avec Nathalie Bondil, directrice générale et conservatrice en chef de l’institution de la rue Sherbrooke.

Sur les réseaux sociaux et tout autour de nous, science et pseudoscience se côtoient. « Quand je lis des choses comme l’eau miraculeuse des sportifs, cela ne me donne pas toujours envie de sauter dans l’arène, même si cela reste nécessaire de le faire », résume la professeure au département des sciences biologiques de l’Université Bishop’s et co-organisatrice du colloque de l’Acfas sur la communication de la recherche, Estelle Chamoux.

La science citoyenne, ou cette idée que des centaines, voire des milliers de citoyens, puissent contribuer à une recherche, ne se contente plus d’être associée à des chercheurs individuels.

Leur cellulaire perpétuellement à la main, les jeunes changent les pratiques des médias de divertissement. Entre les séries conçues uniquement pour Internet et l’offre de la télévision connectée, leurs attentes ne sont plus les mêmes que celles de leurs aînés.