Selon les chercheurs, il faut non seulement diversifier les sources d’approvisionnement en carburant, mais aussi investir dans des avions moins gourmands et dans des technologies plus « vertes » et « durables », comme les biocarburants et l’hydrogène.
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« Plus de 50 pays, dans le monde, comptent maintenant au moins une organisation anti-climat: ce sont des institutions sans but lucratif qui veulent torpiller la science et les mouvements de lutte contre la crise climatique. »
Donald Trump a souvent répété son intention de multiplier en 2025 les autorisations de forer, mais il n’aura pas le pouvoir de forcer la main aux administrateurs des compagnies pétrolières, des banques ou des compagnies d’assurance.
À l’aube de la nouvelle année, la situation des énergies vertes demeure fragile. Surtout avec le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
L’an dernier, un appel à une « transition juste, ordonnée et équitable vers une sortie des combustibles fossiles » avait été obtenu à l’arraché, au grand déplaisir de l’Arabie saoudite. Cette année, cette formulation ne se retrouve plus dans le document final: un symbole des pressions exercées ces dernières semaines par les États pétroliers.
Qu’il y ait ou non une entente à la fin de la COP29, il y aura inévitablement les mêmes frustrations que l’an dernier. Et les réticences des pays riches pourraient être encore plus visibles l’année prochaine, avec les États-Unis de Donald Trump.
La disparition partielle de cette mer est une réelle possibilité quand on se rappelle le sort de la mer d’Aral, à 1300 km de là. Elle était jadis le 4e plus grand lac du monde, elle est à présent à peine visible sur les photos satellites. Une étude parue en 2021 estimait qu’à ce rythme, la mer Caspienne aura perdu le quart de sa superficie avant la fin du siècle.
Le géant pétrolier Exxon, à lui seul, compte plus de représentants à la COP29 que le Guyana, petit État pauvre d’Amérique du Sud qui connaît un boom pétrolier depuis quatre ans et qui est menacé par la hausse du niveau de l’océan.
La demande en énergie de ces sites devrait dépasser la capacité mondiale de production d’énergie, toutes sources confondues, dès 2033, soit dans moins d’une décennie.
Il y a un refus affirmé de changer pour s’adapter à la transition écologique et aux impératifs du climat. « Cela reflète une anxiété identitaire par rapport au genre et à la crise climatique. La pétromasculinité est clairement une position d’opposition au changement social. »