Des chercheurs de l’Université Caltech ont démontré que des algorithmes d’apprentissage machine peuvent surveiller des conversations sur les médias sociaux à mesure que celles-ci évoluent; cela pourrai un jour s’avérer être une façon efficace (et automatique) pour détecter les trolls en ligne.
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Est-il véritablement possible de cacher complètement ses gestes en ligne? Des chercheurs, publiés dans l’International Journal of Electronic Governance, ont tenté de savoir si une série de cinq applications « anonymes » pour médias sociaux sont véritablement sécuritaires, ou si elles permettent plutôt à des tierces parties d’avoir accès à des informations personnelles ou de suivre les utilisateurs à la trace.
Le 30 octobre, le président de Twitter annonçait qu’il n’accepterait plus de publicités politiques sur sa plateforme. Apparemment, ça n’empêchera toutefois pas une compagnie pétrolière de continuer à payer pour des publicités liées au climat et qui sont politiquement orientées.
Lorsqu’il est question de « véritables » fausses nouvelles, soit le genre de désinformation publiée par la Russie lors des élections présidentielles américaines de 2016, « devenir viral » n’est pas qu’une métaphore.
À voir leurs adolescents « scotchés » à leur téléphone à échanger des photos et commentaires sur les réseaux sociaux, nombre de parents s’inquiètent. Et non sans raison, puisque rien que dans la dernière année, au moins trois études ont associé les médias sociaux à un risque accru de dépression chez les adolescents. Le Détecteur de rumeurs s’est penché sur ce que dit vraiment la science.
Les milléniaux ont beau être bien souvent branchés sur les médias sociaux, ils formeraient la génération qui éprouve le plus un sentiment de solitude. Cette conclusion découle d’une enquête réalisée l’été dernier par YouGov, où les membres de cette génération se sentiraient plus seuls que les membres de la génération X ou les Baby Boomers.
En 2017, on comptait plus de 60 millions de pages Facebook consacrées à des entreprises; avec les pages en question viennent des cotes s’appuyant sur les commentaires positifs et négatifs laissés par les utilisateurs du réseau social. Hélas pour les compagnies, les internautes ont bien plus tendance à publier des commentaires négatifs que positifs; le taux est ainsi de deux messages négatifs pour un seul positif.
Des chercheurs et ceux qui les financent ont donné à Facebook jusqu’au 30 septembre pour fournir les données promises par la compagnie, sans quoi ils mettront fin à un partenariat entrepris l’an dernier dans le but d’étudier les impacts des réseaux sociaux sur la démocratie.
Les utilisateurs des médias sociaux risquent de devenir de plus en plus dépendants envers ces plateformes, à mesure qu’ils subissent du stress en utilisant justement ces services.
La haine en ligne se répand à l’échelle planétaire à l’aide de groupes qui s’organisent d’eux-mêmes et qui peuvent être répliqués, à diverses tailles, pour ensuite se lier entre eux et former des réseaux durables à travers plusieurs plateformes de médias sociaux, pays et langues, selon une nouvelle étude récemment publiée dans Nature.