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Une personne mal intentionnée pourrait pirater votre stimulateur cardiaque ou votre pompe à insuline et potentiellement vous tuer, uniquement en interceptant et en analysant des signaux sans fil. Cela ne s’est pas encore produit, mais cela fait au moins une décennie que des chercheurs prouvent que cela est possible.

Les gouvernements parlent beaucoup de désinformation en politique, depuis deux ans. Mais ils sous-estiment peut-être la désinformation en santé. Au Québec, l’intimidation et les menaces dont a été victime le Pharmachien viennent de le rappeler. Mais aux quatre coins du monde, un tour d’horizon rappelle constamment que, sur Facebook, la désinformation nage comme un poisson dans l’eau.

Lorsqu’on est confronté à des arguments touchant une corde sensible, il est souvent difficile, pour la plupart d’entre nous, de séparer les opinions des faits. Le réflexe qu’ont plusieurs de mettre l’étiquette « fausse nouvelle » sur une opinion avec laquelle ils ne sont pas d’accord, en est une illustration. Or, un récent débat sur l’injection de vitamine C fournit au Détecteur de rumeurs une opportunité pour illustrer ce dilemme.

Des centaines de millions de dollars, et peut-être des dizaines de milliers de vie, sont en jeu autour de vos… crottes. Et celles de vos voisins et du reste de l’humanité. L’enjeu étant: qui aura le droit de se servir dans vos excréments.

Si on utilise le mot-clic #miracle sur Instagram, on ne s’étonne pas de trouver des photos qui soient en lien avec la religion. Mais des photos de jus de céleri? Le Détecteur de rumeurs a été intrigué.

Des étudiants en médecine qui deviennent des influenceurs sur Instagram. Une bonne nouvelle pour la vulgarisation scientifique? Pas s’ils tombent dans le même piège que bien des influenceurs, celui de la publicité plus ou moins cachée.

Un Français qui gère à lui seul plus d’une trentaine de sites de désinformation. Un Américain qui en gère une cinquantaine. Et dans les deux cas, beaucoup d’informations absurdes en santé.

Plus le corps vieillit, plus la réponse au traitement médical varie et les effets secondaires des médicaments augmentent. Pourtant, les femmes âgées demeurent sous-représentées dans les essais cliniques portant sur les maladies du cœur, alors qu’elles en constituent les principales victimes.