Mais en quoi la topographie de notre satellite naturel a-t-elle pu avoir une influence sur la présence, ou non, d’eau, ça reste un mystère.
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Tous deux s’inscrivent dans une année 2025 faste, qui pourrait voir près d’une dizaine d’engins atteindre notre satellite.
Un voyage habité vers Mars d’ici 2028 est très improbable, dans l’état actuel de la technologie. De plus, dans l’état actuel des budgets, pour qu’un tel voyage se produise dans un futur proche, il faudrait sacrifier les prochaines missions lunaires.
Selon la théorie alternative des deux chercheurs, la gravité terrestre a séparé un binôme de « visiteurs », arrachant la Lune, qui est alors devenue notre satellite naturel.
On aurait souhaité sauter à pieds joints dans un jeu de gestion suffisamment différent pour alimenter notre passion pour de bien belles usines automatisées qui fabriquent de rutilants objets; avec The Crust, on voit l’ébauche de quelque chose de bien, mais le jeu force carrément les joueurs à emprunter une seule et même voie, en offrant au passage une difficulté ridiculement élevée. Attendons de voir la suite avant de prendre notre billet pour la Lune.
Bien que le grand patron de l’agence spatiale américaine, Bill Nelson, ait évoqué une « course » à la Lune alors que son propre programme Artemis vise une mission habitée en orbite lunaire en 2025 et un premier alunissage en 2026 (si tout va bien), plusieurs scientifiques rejettent cette façon de voir les choses.
Pendant moins de deux minutes, ces 100 000 personnes rassemblées au Parc Jean-Drapeau ont ajouté leur voix à ce cri civilisationnel, qui retentit depuis la nuit de temps: nous sommes là. Et puis, l’instant a pris fin.
Après les missions habitées, il s’agit maintenant de sondes automatiques, dont les compagnies sont prêtes à échouer pour apprendre de leurs erreurs: il faut donc s’attendre à des résultats moins spectaculaires.
Pourquoi coloniser l’espace? Il y a les impacts qu’on pourrait qualifier de philosophiques — élargir nos connaissances, découvrir de nouveaux horizons —, mais ceux-ci seront inévitablement confrontés aux réalités du moment.
Sans cette pause d’un milliard d’années dans la rotation de notre planète, notre journée actuelle, plutôt que de durer 24 heures (environ), s’étendrait plutôt sur plus de 60 heures.