Un « déménagement » vers Mastodon — alternative souvent citée depuis deux semaines — serait possible pour la communauté scientifique, mais il est loin d’être sûr que le grand public la suivrait.
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Facebook est la plus importante plateforme, lorsque vient le temps de partager de fausses nouvelles; le réseau de Mark Zuckerberg représente plus de la moitié des gens partageant ces mensonges dans chaque pays sondé.
Pour leur premier congrès sur place depuis la pandémie, les journalistes de la FPJQ s’attaquent aux tentatives visant à les faire taire. Le président Michaël Nguyen fait le point à l’émission.
En 2019, une analyse appelée le Global Disinformation Index avait estimé à 250 millions par année les revenus des sites de désinformation, dont 40 % provenant de Google. NewsGuard estimait en 2021 ces revenus à 2,6 milliards, mais n’évaluait pas la part provenant de Google.
Pour ce qui est de la désinformation, « même s’il y a une amélioration par rapport à l’ancien programme sur tout ce qui est vie numérique, esprit critique face aux médias, la place dans le curriculum est encore très faible ».
Avec une voix qui a su s’imposer au fil des ans, à Radio-Canada, Annie Desrochers est devenue, depuis 2015, la seule femme animant l’une des grandes émissions d’information quotidiennes à la radio du diffuseur public depuis un demi-siècle.
Dans un monde où les fausses nouvelles sont légion, le journalisme scientifique a fort à faire pour préserver la confiance du public envers les chercheurs. Chez Sparrow, on a justement décidé de sortir du cycle de la nouvelle quotidienne pour produire des contenus accessibles et exacts.
On peut s’étonner que le rédacteur en chef d’une revue vouée à « la théorie et la pratique des vaccins » soit un docteur en linguistique et que son principal adjoint (senior editor) soit un ophtalmologiste.
Au dire des auteurs, cette étude démontre que la littératie médiatique et informationnelle est encore un sujet nécessaire dans le programme d’enseignement au secondaire.
En raison de la radicalisation croissante aux États-Unis, de l’appui en déclin en faveur des normes démocratiques, et l’augmentation de l’appui envers la violence politique, les inquiétudes à propos des biais politiques sur les médias sociaux sont valides, peu importe la taille des groupes qui afficheraient ces biais.