Indiana Jones And The Dial of Destiny est un film complètement oubliable, une tache de plus dans une série qui n’aura sérieusement dû compter que trois épisodes. Pourquoi James Mangold a-t-il accepté un tel projet, à l’odeur corporative écoeurante et à l’absence totale d’âme?
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Qui se souvient de Cop Land? Sorti en 1997, ce film mêlant intrigue policière et scénario typique des western rassemblait pourtant une distribution du tonnerre: Sylvester Stallone, Ray Liota, Robert De Niro, Harvey Keitel, et bien d’autres…
Pas besoin d’être un amateur de course ou de voitures pour apprécier Ford v Ferrari, un drame sportif de James Mangold relatant l’improbable victoire du géant américain de l’automobile aux 24 Heures du Mans en 1966.
Dans la liste des cinéastes américains d’importance, James Mangold n’est probablement pas celui qui vient le plus instinctivement en tête. Pourtant, c’est un touche-à-tout non négligeable qui a rarement peur de se mouiller et qui fait toujours montre d’un savoir-faire épatant. En pilotant le projet Ford V Ferrari, qui est passé entre plusieurs mains, il le prouve encore de très belle façon.