Selon une estimation récemment revue à la hausse par l’Organisation mondiale de la santé, le nombre total de décès de la COVID serait à présent de plus de 15 millions.
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Plusieurs scientifiques se demandent s’ils sauront trouver les mêmes financements pour démarrer leurs propres recherches, dans l’après-pandémie.
La vaccination a donc réduit jusqu’ici la pression sur les hôpitaux et évité un nombre considérable de décès. Qu’en est-il de l’avenir?
Plus la pandémie s’étire dans le temps et plus un nombre disproportionné de non-vaccinés meurent de la COVID.
« Il est important de noter que le taux de diminution de l’efficacité des vaccins n’est pas uniforme. Les personnes âgées sont moins protégées plus rapidement. »
« Des infections occasionnelles ne sont pas un problème : c’est le gain graduel de fonctions de ces virus » qui constitue le vrai problème, c’est-à-dire leur capacité, une mutation à la fois, à se transmettre plus facilement entre oiseaux. Ou, pire, entre humains.
Le 23 mai, tout en soulignant que le risque que pose le virus pour la population est « faible », le Centre européen de prévention des maladies évoquait comme possibilité que la variole du singe devienne endémique en Europe, de la même façon qu’elle l’est dans 11 pays d’Afrique.
Le fait d’hériter de symptômes de longue durée, dont certains ont un impact majeur sur la vie personnelle et professionnelle — fatigue extrême, problèmes respiratoires, pertes de mémoire, etc. — ne serait pas du tout lié à la gravité des symptômes initiaux.
Un médicament-candidat doit toujours passer d’une étude sur des cellules à une étude sur des animaux à une étude sur des humains, « pour éviter la priorisation malavisée d’agents ayant peu de perspectives de succès ».
Lire une étude scientifique n’est pas à la portée de tous, surtout si elle est remplie d’un jargon hautement spécialisé. Et c’est ce qu’utilisent les créateurs de désinformation pour faire passer leur message trompeur.