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Découverts en 1947 par des bergers bédouins qui cherchaient une chèvre égarée, les textes hébreux anciens appelés manuscrits de la mer Morte comptent parmi les textes antiques les mieux conservés jamais trouvés. Désormais, une étude effectuée par des chercheurs du MIT et d’autres institutions permet de faire la lumière sur une technologie ancestrale de fabrication de parchemin et pourrait permettre de mettre au point de nouvelles méthodes pour préserver ces documents d’une importance historique sans précédent.

Des scientifiques ont trouvé la trace d’un barbecue préhistorique sur un site archéologique de la région de Koobi Fora, au Kenya. La découverte repousse de près de 500 000 ans les premières traces d’usage contrôlé du feu par des humains préhistoriques, rapporte le New Scientist.

Les experts ont salué la semaine dernière la toute première découverte d’un os de Dénisovien à l’extérieur de la seule et unique caverne de Sibérie où tous les autres fossiles ont jusqu’ici été découverts. Mais la véritable percée est ailleurs: c’est le premier fossile proprement dit, puisque tout le reste, jusqu’ici, se résumait à une poignée de fragments incomplets.

Les livres d’histoire peuvent nous en apprendre beaucoup sur les Croisades, ces guerres religieuses menées entre 1095 et 1291, au cours desquelles des envahisseurs chrétiens ont tenté de s’emparer du Proche-Orient. Mais l’ADN de neuf croisés du 13e siècle enterrés dans un puits, au Liban, révèle qu’il y en a bien plus à découvrir sur l’identité de ces soldats du Christ et sur leurs interactions avec les populations locales.

Encore un Hobbit, mais d’une autre espèce, et pas sur la même île. Si vous avez du mal à suivre le portrait de nos cousins préhistoriques, vous n’êtes pas les seuls: les paléontologues ont aussi du mal.

Une caverne d’Asie a révélé que l’homme de Denisova, un de nos plus proches cousins, avait occupé l’endroit pendant plus de 250 000 ans. Mais la particularité de cette longue datation réside dans le fait qu’on n’a guère plus d’os de Dénisoviens qu’avant.

Une équipe de chercheurs appartenant à plusieurs centres scientifiques allemands, dont l’Institut Max Planck de biologie cellulaire moléculaire et de génétique, a découvert des preuves suggérant que les peuples du mésolithique mangeaient bien mieux que ce que l’on croyait.

L’ADN d’un squelette du Nevada vieux de 10 000 ans et l’ADN d’un squelette du Brésil vieux de 10 000 ans montrent des similitudes étonnantes. Assez pour que, conjointement avec d’autres nouveaux génomes préhistoriques, ils offrent le portrait d’une migration extrêmement rapide, dès que les ancêtres des Amérindiens ont mis pied sur le continent.