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Martin a perdu Yan, son mari. Malheureux, seul au monde, il envisage le suicide avant que l’un de ses amis ne lui propose un marché quelque peu étrange: épouser Tamara, la jeune femme noire dont l’ami en question est amoureux en échange de paiements lui permettant de subvenir à ses besoins. Voilà le scénario de Troisièmes noces, une comédie douce-amère de David Lambert.

Le milieu québécois du cinéma a encaissé un léger recul des entrées en salles, a révélé mercredi l’Institut de la statistique du Québec (ISQ) dans une note d’information publiée en ligne.

Une femme qui disparaît, un mari qui pourrait être responsable d’un kidnapping, ou pire encore, d’un meurtre, et un réalisateur en très grande forme. Gone Girl, du cinéaste David Fincher, suscite de nombreux questionnements lors de cet épisode 8 de la série Rembobinage.

Plus accessible, plus près d’un genre et plus éclaté et ambitieux que la majorité de ses films précédents, ce qui n’est pas peu dire quand on défriche sa filmographie, Denis Côté propose avec Répertoire des villes disparues, un film tellement disparate qu’on ne sait plus vraiment à qui son film s’adresse véritablement, ou s’il s’adresse nécessairement à quelqu’un.

Il y a films de zombies et films de zombies. Et si le genre a été saturé par quantité d’oeuvres proposant des variations plus ou moins intéressantes du thème central, ces dernières années, Overlord, mélange d’horreur et de film de guerre, prouve que s’en tenir aux ingrédients de base peut permettre de créer une oeuvre franchement intéressante.

Un projet a beau être intéressant et aligner des éléments qui attirent indubitablement l’attention, mais parfois rien n’arrive à sauver un naufrage. Celui-ci s’appelle Blue Iguana et les charmes irrésistibles de l’indomptable Sam Rockwell n’y peuvent malheureusement rien, malgré quelques petits sourires ici et là entre les longs moments d’ennui.

Une colonie est excellent. Il n’est ni extraordinaire, transcendant ou révolutionnaire. Il n’en demeure pas moins remarquable et, surtout, porté par la performance immense de la non pas moins fascinante Émilie Bierre.