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Si tout va bien, en 2019, des plantes pousseront sur la Lune. En quelque sorte, du moins: ce sera dans un environnement scellé, 100% artificiel. Mais le tout sera soumis à la faible gravité de notre satellite.

En observant un échantillon de jeunes étoiles dans une « pouponnière d’étoiles » dans la constellation du Taureau, des chercheurs ont découvert que bon nombre d’entre elles étaient entourées par ce qui serait des traces créées par de jeunes planètes en formation. 

À présent qu’InSight a survécu à sa descente sur Mars et a fait se réjouir l’enfant caché en chaque amateur d’astronomie, l’étape suivante consistera à… être patient. Rien que pour déployer ses instruments, il faudra deux mois à la petite sonde américaine.

Pendant que l’entreprise privée commence tout juste à prendre une petite place en orbite terrestre, un homme d’affaires plus ambitieux veut s’allier avec la NASA pour financer une mission vers… Saturne.

L’espace, l’ultime frontière… Et surtout le lieu de nouvelles découvertes fascinantes. Dans la foulée de nouvelles informations concernant la composition de notre système solaire, le Planétarium Rio Tinto Alcan présente deux nouveaux spectacles: Planète 9, consacré justement à ces percées astronomiques, et Les secrets de la gravitation, qui s’attaque à forte partie avec la théorie de la relativité générale.

L’annonce cette semaine de la mise à la retraite du télescope spatial Kepler a marqué la fin d’une époque — une explosion de découvertes de planètes tournant autour d’étoiles autres que notre Soleil — mais surtout le début d’une autre: les successeurs de Kepler détermineront si oui ou non il y a de l’atmosphère autour de certaines de ces planètes, et peut-être même de la vie.

On pensait en avoir fini avec ’Oumuamua, ce mystérieux « objet interstellaire » qui est passé dans notre voisinage l’an dernier. D’abord catalogué comme astéroïde, il a été redéfini comme comète cet été. Mais à présent, on n’en est plus sûr.

Si la NASA veut continuer d’envoyer des humains dans l’espace, et si les Russes veulent maintenir la station spatiale internationale en bon état, tous deux ont intérêt à soigner leurs bonnes relations. Or, les rumeurs récentes d’un sabotage là-haut arrivent à un mauvais moment.

Des ingénieurs du Jet Propulsion Laboratory de la NASA, à Pasadena, en Californie, ont demandé cette semaine au robot d’exploration martienne Curiosity d’activer son deuxième ordinateur. Ce changement permettra à des ingénieurs d’obtenir un diagnostic complet d’un problème technique qui empêche l’ordinateur habituel de stocker des données scientifiques et certaines informations techniques essentielles depuis le 15 septembre.