Des avions, des ballons, des sismographes, des détecteurs d’infrasons et d’autres équipements, étaient donc à l’écoute le 24 septembre, entre le moment où la capsule est entrée dans l’atmosphère au-dessus de San Francisco, et celui où son parachute s’est déployé, sept minutes plus tard.
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Pourquoi coloniser l’espace? Il y a les impacts qu’on pourrait qualifier de philosophiques — élargir nos connaissances, découvrir de nouveaux horizons —, mais ceux-ci seront inévitablement confrontés aux réalités du moment.
L’échec de la mission Luna-25 s’inscrit dans une série de coups durs pour le programme spatial russe. Depuis la fin des années 1970, l’agence a dû composer avec une série de fusées qui explosent, une navette spatiale utilisée une seule fois et une mission vers Mars qui n’a jamais dépassé l’orbite terrestre, souligne-t-on dans un article du New Scientist.
Voyager 2 a quitté la Terre en 1977 pour explorer Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Elle est entrée dans l’espace interstellaire en 2018 et se trouve maintenant à 12,3 milliards de kilomètres de la Terre.
Le Soleil suit par ailleurs des cycles de 11 ans. À leur sommet, on assiste à davantage d’éruptions, et on observe davantage de trous coronaux qui, au lieu d’être concentrés aux pôles, peuvent apparaître n’importe où.
« Si vous avez une planète de la taille de la Terre, avec davantage de carbone que sur notre monde, qu’est-ce que ça veut dire pour la question de l’habitabilité? Nous ne le savons pas, et c’est cela qui est excitant! »
L’engin serait aussi juste assez gros pour aller porter des propres satellites en orbite. En fait, ceux qui l’ont suivi à la trace ont rapporté plusieurs manoeuvres pendant ses neuf mois en orbite, et une opération qui pourrait être le largage et la capture d’un objet, possiblement pour simuler la capture d’un satellite.
Les chercheurs ont découvert ce qui pourrait être une source de chaleur au sein du manteau rocheux des lunes, qui entraîne la production de liquides, et qui aiderait un océan à maintenir un environnement tiède. Le tout pourrait favoriser une colonisation humaine.
Dans l’immédiat, le succès du SLS et d’Orion laisse donc croire que, contrairement aux annonces officielles de la NASA, il se pourrait qu’Artemis 3 repose sur les engins de la NASA, plutôt que sur ceux de SpaceX, en dépit du contrat de 2,9 milliards de dollars signé avec cette dernière.
Si tant de gens observent de près ces aides financières, c’est en partie parce qu’Elon Musk lui-même… s’est opposé aux subventions.