Browsing: environnement

À Québec, Montréal et Chicago, le lancement de projet d’infrastructure de transport relève plus de l’électoralisme que d’une prise en compte des enjeux environnementaux, sociaux et de l’espace à aménager. Coûteux et conçus pour le long-terme, ces projets ne répondent qu’en partie aux exigences du développement durable. La 8e biennale d’architecture de Rotterdam (IABR) propose d’aborder le problème du lien manquant à l’aide du design.

Ceux pour qui le GIEC serait à la solde de gouvernements vendus à « l’idéologie » du réchauffement climatique vont avoir du mal à expliquer celle-là : après avoir commandé au GIEC un rapport sur les impacts qu’aurait un réchauffement d’un degré Celsius et demi, des pays membres ont refusé d’endosser le rapport.

La« COP24 », ou 24e conférence annuelle sur les changements climatiques, s’est ouverte lundi et se poursuit pendant deux semaines à Katowice, en Pologne. Pour s’y retrouver un peu,survol du vocabulaire très particulier de ces rencontres qui remontent aux années 1990.

« Il fait froid: ne me faites pas rire avec vos histoires de réchauffement climatique ». Sous diverses variantes, cette prise de position est lancée avec la régularité d’une horloge chaque fois que tombe une nouvelle vague de froid.

C’est l’un des plus importants rapports sur le climat qu’ait produit le gouvernement américain, depuis plusieurs années. Mais ce gouvernement a choisi de le publier pendant l’un des plus importants congés fériés de l’année aux États-Unis. Comme s’il avait voulu lui assurer le moins de visibilité possible.

Si on entend régulièrement parler de l’augmentation de la température moyenne de la planète, et du fameux seuil des « deux degrés Celsius », on entend beaucoup moins parler d’un autre seuil, de son petit nom « PPM ». Une mesure qui, de surcroît, est beaucoup plus facile à comprendre que celle des deux degrés, parce qu’elle, elle augmente d’au moins une unité par année.

Lorsqu’il a annoncé le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris l’an dernier, Donald Trump a blâmé « le fardeau économique et financier » que cet accord imposait à son pays. Depuis, c’est un argument récurrent du discours climatosceptiques: l’Accord de Paris coûterait trop cher. Or, le Détecteur de rumeurs a eu beau chercher, il n’a rien trouvé qui obligerait un pays signataire à payer quelque chose s’il n’atteignait pas la cible qu’il s’est fixée.