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Une recherche américaine récente avance que l’embourgeoisement bénéficierait aux ménages de longue date, même les plus défavorisés, qui demeurent dans les quartiers en proie à celui-ci, rapporte Citylab. L’étude, intitulée The Effects of Gentrification on the Well-Being and Opportunity of Original Resident Adults and Children, n’a cependant pas fait l’objet d’une publication dans une revue révisée par les pairs et souffre de certaines lacunes qui minent sa crédibilité. Décryptage.

Le livre ne paie pratiquement pas de mine. Réimprimé sur du papier sans éclat, auquel on a rajouté une simple couverture cartonnée sans fioritures, le roman donne l’impression d’être une oeuvre parmi tant d’autres. Et pourtant, Sarcellopolis, écrit par Marc Bernard en 1963 et récemment réédité aux éditions Finitude, est un petit bijou de la littérature contemporaine.

Les jeunes adultes canadiens urbains âgés de moins de 35 ans croient, pour la très grande majorité d’entre eux, qu’il est important d’habiter un quartier où la scène artistique se porte bien, y compris lorsqu’il est question de concerts et d’autres prestations musicales.

Imaginer le Montréal de demain. L’idée peut paraître cliché, surtout qu’à l’approche du 375e anniversaire de la ville, l’administration municipale semble s’embourber dans les travaux en retard. Mais pour POSSIBLES, un projet multifacettes qui adoptera sa vitesse de croisière samedi 8 octobre, rêver à l’avenir est tout sauf dépassé.

Pour cartographier le mouvement des eaux de surface, une récente initiative a collecté bien plus que des données. Elle a dopé la mobilisation citoyenne pour des projets de protection de l’environnement tout en intéressant le public à la science.

Loin d’être une entité homogène, la ville recèle des espaces non déterminés et délaissés : des friches, des terrains vagues parfois sans nom, mais non sans identité. À propos du terrain vague, la coorganisatrice du colloque Imaginaire du terrain vague présenté lors du dernier congrès de l’Acfas, Élise Lepage, soutient que « c’est une sorte de trou noir du développement urbain, perçu comme une tumeur qui pourrait gagner le reste de la ville. Une sorte de « nowhere », un espace vide où se produit un phénomène de « dévoration » (comme dans dévorer) et qui pourrait bien être le centre du monde ».