Il est clair que Whitehorse pourra trouver son public. Un public amateur d’absurde et de macédoine humoristique. Mais il y a aussi fort à parier qu’une partie de la population, ce journaliste compris, aura mieux à faire.
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Dans un chatoiement de couleurs, accompagnés de sculptures de masques et d’animaux ainsi que de projections vidéos, cinq artistes danseurs et chanteurs sur scène, quatre femmes et un homme, tous de la famille de Margaret Harris, offrent des performances chantées et dansées spectaculaires.
L’oeuvre réunit tous les critères de beauté, d’élégance et d’audace, avec en plus de l’humour, de la tendresse et l’expression des corps poussée à son paroxysme.
Le spectateur assiste à une sorte de rêve, la manifestation onirique des effets de l’amour après qu’on l’a définitivement perdu et qu’on ne sait plus soi-même si on voudrait ou non le retrouver.
Amok, le journal d’un fou d’amour, pièce française qui a fêté sa 300e représentation à Montréal, était à la Cinquième salle pour quatre représentations.
Décrit comme un « opéra performance pour voix solo et bande électroacoustique », Yo soy la desintegración, œuvre de Pauline Vaillancourt, reçoit un second souffle 20 ans après sa création. Présenté dans l’intimité de la Cinquième Salle à la Place des Arts, on était en droit de s’attendre à un bouleversement en huis clos. Mais ce déchaînement a-t-il eu lieu?
Tout a commencé avec Un, Deux et Trois, une trilogie sur l’identité personnelle et collective. Puis, vinrent Ils étaient quatre et Cinq à sept, deux pièces qui parlent de rencontres, de vie d’adulte et d’amitié. Mani Soleymanlou présente donc la finale de ce cycle d’écriture, 8, jusqu’au 28 janvier à la Cinquième salle de la Place des arts.
Jusqu’au 15 octobre, Danse danse reçoit en grande première le chorégraphe new-yorkais Bryan Arias, avec sa compagnie du même nom pour y présenter A Rather Lovely Thing, sa toute dernière création présentée pour la première fois en juillet 2016.