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Les conséquences de la pandémie de COVID-19 continuent de se préciser: outre le très lourd bilan en matière de santé, avec plus de 3 millions de mort des suites de la maladie, on dénoterait des pertes économiques particulièrement importantes chez les femmes, selon une récente note d’information d’Oxfam. Ainsi, ce sont quelque 800 milliards de dollars qui auraient disparu des poches d’une population souvent déjà plus fragilisée depuis l’éclatement de la crise.

La chose est connue: l’impact de la pandémie de COVID-19 sur l’économie mondiale a été massif. Et si certaines entreprises et leurs propriétaires se sont largement enrichis à la suite des différentes vagues de contamination (et de confinement), la classe moyenne, elle, a été purgée de millions de personnes qui se sont retrouvées dans un état de pauvreté, révèle une nouvelle étude du Pew Research Center.

L’embellie économique constatée au Canada, au sortir de la première vague de la pandémie de COVID-19, a-t-elle fait son temps? Selon les plus récentes données de Statistique Canada, le taux de chômage est ainsi légèrement reparti à la hausse, en décembre dernier, alors que la reprise semble faire du surplace pour les travailleurs de la classe moyenne et ceux à plus faible revenu.

Le stress émotionnel, l’anxiété économique, l’inactivité physique et la distanciation physique; le confinement des sociétés pour combattre la COVID-19 crée une insécurité psychosociale qui mène à l’obésité, affirment trois chercheurs danois. Des contre-mesures sont nécessaires pour que le public reste en santé, tout en étant protégé contre le nouveau coronavirus, disent-ils.

La pandémie de coronavirus et le confinement qui l’accompagne font mal, très mal à l’économie canadienne, ainsi qu’à celle de la métropole québécoise. Dans une note d’information publiée plus tôt cette semaine par le Conference Board, il est ainsi mentionné que jusqu’au quart de l’économie nationale pourrait disparaître des suites de la COVID-19.

Voilà plusieurs années que les indicateurs économiques sont au jaune, voire au rouge pour la génération dite des milléniaux, soit les gens approximativement nés entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990. Une nouvelle étude du gouvernement américain le confirme: chez l’Oncle Sam, du moins, ces milléniaux sont aux prises avec des conditions économiques moins favorables que celles dont ont profité leurs parents et grands-parents. Une situation qui ne semble pas sur le point de s’améliorer.

La pénurie de main-d’oeuvre continue de se faire sentir d’un océan à l’autre, alors que l’on a récemment recensé quelque 548 000 postes vacants à l’échelle du pays, a fait savoir Statistique Canada dans une note d’information transmise lundi.

L’agence Kela, qui gère la sécurité sociale en Finlande, a récemment publié les résultats d’un projet pilote de revenu universel garanti mené pendant deux ans afin d’en apprendre davantage sur les méthodes disponibles pour réduire le chômage. Les fonctionnaires rapportent que le fait de fournir un revenu garanti sans conditions plutôt que des prestations de chômage ou de l’aide sociale les rendaient plus heureux et moins stressés, mais que cela n’augmentait ou ne réduisait pas les chances de trouver un emploi.