La communauté des chercheurs en science politique qui étudie l’évolution des démocraties, n’est peut-être pas si surprise de ce qui se passe aux États-Unis.
Browsing: chine
À l’aube de la nouvelle année, la situation des énergies vertes demeure fragile. Surtout avec le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis.
Trois facteurs jouent contre les États-Unis: la volonté politique de mettre un frein aux investissements de l’État, la polarisation des dernières années autour de certains enjeux-clefs comme le climat et la COVID, et d’éventuelles restrictions à l’immigration.
Qu’il y ait ou non une entente à la fin de la COP29, il y aura inévitablement les mêmes frustrations que l’an dernier. Et les réticences des pays riches pourraient être encore plus visibles l’année prochaine, avec les États-Unis de Donald Trump.
Investissements ou pas, une chose semble claire alors que se déroule la COP29 : à court terme, ce n’est plus vers les États-Unis que le reste du monde regarde pour un leadership politique contre les changements climatiques.
Si ça se confirme, ce serait le point tournant qu’attendaient depuis longtemps les économistes et les environnementalistes, puisque la croissance des émissions de GES chinoises est ce qui a largement contribué à la croissance des émissions mondiales au cours de chacune des huit dernières années.
« Les ventes de voitures électriques sont en forte hausse, d’un océan à l’autre, avec 30% d’augmentation jusqu’ici, cette année. D’ailleurs, elles progressent encore plus rapidement au Québec, qui représente plus de la moitié de la croissance. »
Personne ne semble enclin à vouloir goûter ce fromage. Mais dans une entrevue au New York Times, la chercheuse principale, la paléogénéticienne Qiaomei Fu, de l’Académie chinoise des sciences, se dit confiante qu’avec les informations disponibles, il serait possible de le recréer.
À partir de quel moment les politiciens qui blâment la Chine lorsqu’on leur reproche de ne pas s’engager à réduire assez vite les gaz à effet de serre, réaliseront-ils que leurs économies ont pris du retard?
50% des adultes américains interrogés dans le cadre de l’étude jugent qu’un tel blocage est « peu probable », contre 31% qui croient que l’interdiction ira de l’avant.