« Imaginez un hôpital sans fournitures, des gens qui boivent de l’eau non traitée et des patients avec très peu d’argent à qui l’on demande encore de payer pour leurs soins. C’est un vrai désastre. »
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Aucun des candidats n’a entre autres montré de signe comme quoi les investissements dans l’IA allaient ralentir, mais aucun n’a non plus évoqué comment ils entendaient règlementer ce secteur en forte croissance.
Cela fonctionne, donc, mais il y a un gros bémol. Chaque maison coûte au moins 1 250 000 $ US. Avec une trentaine de résidences complétées sur les 86 prévues, c’est hors de portée de la grande majorité de la population.
« L’IA nous aide à identifier des tendances qui sont difficiles à détecter avec des méthodes traditionnelles. Il s’agit d’une étape importante vers la prévision de futures migrations, et ainsi fournir de meilleurs outils aux communautés vulnérables pour qu’elles puissent gérer les impacts de la crise climatique. »
De quelque façon qu’on fasse le calcul, il est certain que la société paie déjà en partie la facture des changements climatiques. Même si certains coûts indirects sont difficiles à évaluer pour le moment, les dépenses en cause sont vraisemblablement en train d’augmenter.
Si plusieurs ont été surpris de voir surgir cette année, sur les réseaux sociaux, une association d’idées entre chemtrails et feux de forêt, cette association d’idées remonte en fait à près d’une décennie. Une confusion s’est installée entre la théorie de la géoingénierie et la réalité de la géoingénierie. Une autre confusion semble s’installer entre les mots géoingénierie et chemtrails.
Les drones peuvent fournir des images plus détaillées que les satellites et les avions. Ils peuvent ainsi répondre à l’un des défis de taille : repérer les feux, même en l’absence de grandes flammes et de portions consumées, et ce compte tenu du vaste territoire à couvrir.
Oxfam se réfère aux données du GIEC, le groupe de chercheurs sur le climat rattaché aux Nations unies, pour rappeler que « depuis les années 1970, 44% des catastrophes environnementales sont liées à des inondations ». Une proportion qui est appelée à augmenter en raison de la multiplication des extrêmes climatiques.
Les auteurs de l’étude reconnaissent que la stabilité est plus facile à atteindre dans des pays développés et plus riches, mais soutiennent que leurs résultats démontrent la nécessité de prioriser les investissements dans ces domaines clés, dans les régions en développement, pour assurer l’existence de ressources alimentaires fiables et stables, à l’avenir.
Même en vertu du plus faible scénario d’émissions, d’ici 2060, on comptera 24% plus de journées de vagues de chaleur extrême, ainsi que près de 600 000 décès supplémentaires attribuables à la chaleur, alors qu’en vertu du pire scénario, on parlerait plutôt de 50% de journées de chaleur extrême et jusqu’à 1,2 million de morts.