Selon les chercheurs, il faut non seulement diversifier les sources d’approvisionnement en carburant, mais aussi investir dans des avions moins gourmands et dans des technologies plus « vertes » et « durables », comme les biocarburants et l’hydrogène.
Le fait que ces particules soient peu étudiées vient justement de leur taille, et du haut degré d’incertitude que cela entraîne dès qu’on tente d’estimer la quantité à laquelle une personne est exposée. Mesurer les émissions à la source est en effet possible, mais mesurer l’impact sur la santé est plus difficile.
Un groupe de 18 pays, incluant des États insulaires mais aussi la France et l’Allemagne, a publié un appel à « une sortie urgente des énergies fossiles ». « Nous devons atteindre le pic d’émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2025 au plus tard », disent-ils.
La situation financière des ménages canadiens demeure précaire, révèle Statistique Canada dans une nouvelle note…
Si certains calculs tiennent, tout nouveau projet d’exploitation pétrolière, comme le projet Bay du Nord au large de Terre-Neuve, annoncé la semaine dernière, court donc le risque d’arriver trop tard.
Ce que ce dernier rapport du GIEC démontre, c’est qu’agir sur le climat n’est pas limité par un manque de connaissances scientifiques ou d’options technologiques, mais par des structures de pouvoir bien enracinées et par une absence de volonté politique.
« Une fois que vous réussissez à produire de meilleurs catalyseurs, la plupart des problèmes liés à l’électrolyse du CO2 disparaissent. »
La pandémie et la spéculation qui en découle pourraient entraîner un nouvel intérêt pour la vie dans des régions moins bâties, ce qui augmenterait la pression pour développer de nouvelles zones.
« L’avion n’est pas fait pour les courtes distances. »
Les chercheurs veulent réduire la consommation d’essence et les émissions de CO2 en une seule opération.
