Après examen des données, les auteurs des travaux ont estimé que les cyclistes avaient 47% moins de risques de décès, 10% moins de risque de se retrouver à l’hôpital pour quelque raison que ce soit, et 24% moins de risques d’être hospitalisés pour des problèmes cardiovasculaires.
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Chez les souris, l’approche a permis de stopper la croissance et la propagation d’une tumeur, révèle l’étude publiée en juin dans le journal Science Advances. Le taux de survie des souris traitées avec les microrobots était également plus élevé que celui des souris ayant reçu le traitement conventionnel (37 jours contre 27).
Pour l’instant, le taux de cancer augmente plus vite chez les membres de la génération X (nés de 1965 à 1980) que chez leurs parents et grands-parents quand ils avaient le même âge. Ce qui veut dire qu’il pourrait en être de même dans une ou deux décennies chez les milléniaux (nés de 1981 à 1996).
Certes, entre un virus et une tumeur, il y a une marge, mais il y a plusieurs années déjà que la médecine génétique, consciente du fait que derrière une tumeur, il y a des mutations, s’est avisée que si on pouvait apprendre à notre système immunitaire à reconnaître ces mutations, on aurait fait un grand pas en avant.
« Il semblerait que les Anciens Égyptiens ont réalisé une sorte d’intervention chirurgicale en lien avec la présence de cellules cancéreuses, ce qui prouve qu’à l’époque, les médecins effectuaient des traitements expérimentaux en lien avec le cancer. »
Par ailleurs, le nombre d’années de vie perdues en raison d’une mauvaise santé et de décès prématurés, et qui sont attribuables à des facteurs de risque métaboliques, ont augmenté de 50% depuis 2000.
La mortalité est en hausse, au Canada, bondissant de plus de 7 % entre 2021…
L’expérience s’inscrit dans une liste d’expériences de plus en plus longue suscitée par CRISPR et cette capacité à cibler de plus en plus en profondeur à l’intérieur des gènes.
« Danger » et « risque » ne sont pas des synonymes, et la classification choisie par le CIRC peut entraîner une confusion. Bien qu’il soit évident qu’un produit qui figure dans la liste des produits cancérigènes est plus dangereux, le problème est de savoir à quel point il l’est.
Si des bactéries peuvent bel et bien contribuer à la croissance d’une tumeur, est-ce que des « bonnes » bactéries ne pourraient pas servir à combattre les « mauvaises »?