Les scientifiques en savent très peu sur les interactions entre l’héliosphère et le « monde extérieur »: les seules données directes sont celles des sondes Voyager 1 et 2 qui, depuis les années 2010, sont arrivées dans la région de cette « ultime frontière » de notre système solaire.
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Dans un rapport publié à l’occasion du 50e anniversaire de l’Observatoire Rothney, on pouvait lire que, en dépit du fait que l’observatoire « s’efforce de découvrir de nouvelles choses grâce à sa fabuleuse gamme de télescopes et de détecteurs, sa plus grande contribution consiste à s’associer à d’autres groupes de recherche pour vérifier et confirmer les découvertes en astronomie».
L’Observatoire fédéral d’astrophysique n’est plus depuis longtemps le « plus grand » au monde. Les exigences scientifiques étant de plus en plus élevées, l’acquisition des données se fait depuis une dizaine d’années auprès des télescopes Gemini Nord, situé au sommet du Mauna Kea, et Gemini Sud, situé dans l’hémisphère Sud, au Chili.
Au dire des scientifiques, si 55 Cancri e est bien trop chaude pour être habitable, elle pourrait offrir une opportunité unique d’étudier les interactions entre l’atmosphère, la surface et l’intérieur des planètes rocheuses, et fournir ainsi des informations sur les débuts de la Terre, de Vénus et de Mars, qui auraient toutes été recouvertes de magma, par le passé.
« Le coeur de Pluton est si froid que les pierres sont demeurées très dures et n’ont pas fondu, malgré la chaleur dégagée lors de l’impact, et en raison de l’angle de l’impact et de la vitesse assez basse, le coeur de l’impacteur ne s’est pas mélangé à celui de la planète, mais est demeuré impact, comme une tache. »
On peut admirer des gloires sur Terre et certaines ont aussi été vues dans l’atmosphère de Vénus. C’est toutefois la première fois que des scientifiques parviennent à détecter ce phénomène optique sur une planète d’un autre système solaire — une exoplanète.
Grâce à 5000 robots associés au télescope Nicholas U. Mayal situé en Arizona, 100 000 galaxies ont été observées chaque nuit depuis 2021, afin de produire la plus grande carte 3D de l’Univers jamais réalisée.
Pendant moins de deux minutes, ces 100 000 personnes rassemblées au Parc Jean-Drapeau ont ajouté leur voix à ce cri civilisationnel, qui retentit depuis la nuit de temps: nous sommes là. Et puis, l’instant a pris fin.
Cette recherche est aussi un rappel que toute affirmation sur la détection d’une « biosignature » — une « signature » dans l’atmosphère qui serait attribuable à de la vie — devra faire l’objet de la plus grande prudence, tant qu’elle n’aura pas été confirmée et re-confirmée par d’autres analyses.
Arrakis pourrait exister autour d’une étoile lointaine. Mais — sans rien enlever aux qualités du roman de Frank Herbert et du film de Denis Villeneuve — pour les vers des sables, c’est plus douteux.