« Je crois qu’avec la crise climatique, nous souffrons d’un manque d’imagination. Si nous ne pensons pas aux extrêmes qui pourraient survenir, alors nous n’allons pas nous y préparer. »
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Aux interactions encore à découvrir avec la faune et la flore, il faudra ajouter celles avec le microbiome: certains microbes peuvent agir en symbiose avec les coraux, par exemple pour accélérer le cycle des nutriments ou pour protéger contre les maladies.
S’il s’agit bel et bien d’un comportement « transmis » — en d’autres termes, d’un épaulard qui en imite un autre— les hypothèses vont d’un premier épaulard qui, en 2020, aurait été pris dans un filet de pêche et aurait cherché à s’en libérer en attaquant le bateau, à un premier jeune épaulard… qui aurait voulu jouer.
« Il faut juste garder en tête que chaque fois que vous construisez quelque chose là-bas, vous poussez le sol vers le bas un petit peu plus ».
« Il nous faut transformer nos façons de faire — le groupe de l’ONU sur les désastres insistait d’ailleurs sur des compétences sociétales à développer face aux risques. Il nous faut aussi revoir notre solidarité et réduire les inégalités socioéconomiques. »
Il faut savoir que le lien entre les rats et les récifs de corail passe en partie par les oiseaux qui viennent pondre leurs oeufs sur ce récif, et en partie par les grandes algues environnantes (ou macroalgues).
Les chercheurs. ne s’entendent pas sur ce que serait le point de bascule: les estimations varient entre 20 et 30 % de déforestation (on est actuellement à 17 %). Mais chose certaine, il ne faut pas attendre d’avoir coupé toute la forêt avant de voir le système se détériorer.
2022 s’est classée à l’échelle mondiale, tout comme les années précédentes, dans la liste des 10 années les plus chaudes depuis un siècle et demi que de tels calculs sont faits.
Cela pourrait impliquer que les plus grandes espèces d’oiseaux seraient plus à risque d’extinction à mesure que la température planétaire continuera de s’élever.
Les puits situés en eaux peu profondes, qui sont donc ceux à risque de faire les plus gros dégâts sur la faune marine en cas de fuite de pétrole ou de méthane, représentent 90 % de ces 14 000 puits inactifs.