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À travers le monde, le confinement a entraîné toutes sortes de réaménagements urbains, plusieurs impliquant la fermeture de rues commerciales aux voitures. Bien que les commerçants y aient d’abord vu une menace pour leurs affaires, les études disent le contraire, constate le Détecteur de rumeurs.

Si la pandémie et le confinement qui a suivi a eu un impact majeur sur l’économie, ce ne sont pas tous les travailleurs qui ont subi les contrecoups de cette pause forcée du marché du travail. Sans grande surprise, une récente enquête de Statistique Canada révèle que les employés liés à la production de bien, mais aussi les moins nantis et les moins diplômés ont encaissé un contrecoup plus fort que les autres catégories de travailleurs.

Du jamais vu depuis près d’un an et demi: selon les plus récentes données publiées par l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), les prix des denrées alimentaires ont chuté à leur plus bas en 17 mois en raison de la pandémie de COVID-19.

Une crise mondiale n’attend pas l’autre: à peine notre société a-t-elle commencé à surmonter – en partie, du moins – la première vague de la COVID-19 que déjà, les économistes lancent de sévères avertissement. Déjà largement endettés avant l’éclatement de la pandémie, plusieurs États sont maintenant au bord du gouffre en raison des emprunts massifs rendus nécessaires par la mise en veilleuse de larges pans de leurs économies et des programmes d’aide qui y sont associés.

Au début du confinement, c’était la course folle pour se constituer des réserves de papier de toilette. Et bien qu’il ait été dit plusieurs fois que le Québec n’a pas à craindre une pénurie de cet or blanc, les tablettes des magasins sont souvent vides encore aujourd’hui, constate le Détecteur de rumeurs.

La pandémie de coronavirus et le confinement qui l’accompagne font mal, très mal à l’économie canadienne, ainsi qu’à celle de la métropole québécoise. Dans une note d’information publiée plus tôt cette semaine par le Conference Board, il est ainsi mentionné que jusqu’au quart de l’économie nationale pourrait disparaître des suites de la COVID-19.

Un recul plus important que lors de la crise financière de 2008: selon un nouveau rapport du magazine spécialisé The Economist, les impacts de la pandémie de coronavirus sur l’économie mondiale vont faire mal, très mal. Y compris au Canada, dont l’économie devrait se contracter d’environ 5% au deuxième trimestre de 2020.

S’agit-il de perpétuer le mythe du self-made man? Ou plutôt de dénoncer un système qui est clairement et injustement structuré d’une façon telle que les riches s’avantagent entre eux, laissant les autres classes sociales dans la misère? Quoi qu’il en soit, un nouveau sondage réalisé par le Pew Research Center indique clairement que les Américains jugent que ce sont les circonstances, et non l’éthique de travail, qui créent les millionnaires et milliardaires de ce monde.

Une économie menacée de toutes parts par la dure réalité géopolitique, voire même sanitaire, de l’année 2020: voilà le constat peu reluisant que présente le magazine The Economist dans son plus récent rapport sur l’état de l’économie mondiale. Selon la publication spécialisée, cinq menaces principales pèsent ainsi actuellement sur les structures et acteurs économiques. Et la plupart d’entre elles dépendent du bon vouloir d’un certain locataire de la Maison-Blanche.

La banque JP Morgan Chase, l’une des plus grosses institutions financières du monde et l’un des plus gros investisseurs mondiaux dans les carburants fossiles, prévient discrètement ses clients des risques croissants que représentent les carburants fossiles pour l’équilibre de la planète et le futur de l’humanité.