« Ce que j’aime dans Brel, c’est qu’il y a des moments d’émotion, mais aussi des textes tellement puissants qui racontent des choses toujours actuelles, aujourd’hui. »
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Ce disque permet de constater qu’il existe bel et bien une façon (un peu) différente de raconter une grande histoire, le tout sur fond de synthétiseurs, de néons et de combats contre les puissances maléfiques peuplant l’univers.
Pour conclure la soirée dans un élan de joie populaire, Quijada avait réservé au public une de ses spécialités : du break dance sur une musique appropriée.
Pour souligner la sortie de ce long-métrage d’aventure et de lancers de dés s’inspirant d’un court-métrage culte, le réalisateur Édouard Tremblay s’entretient avec Hugo Prévost et Kevin Laforest.
Le Trille du Diable fait partie de ces romans que l’on n’oublie pas. D’une brutalité et d’une justesse sans égale, et qui vaut clairement le détour.
Sur les compositions de grands musiciens montréalais (Chilly Gonzales, Kid Koala, Vlooper, Jasper Gahunia), un peu comme une histoire de la discipline, le chorégraphe et ses 12 merveilleux danseurs nous transportent dans trois univers particuliers.
Au-delà du papier est peut-être une oeuvre à la structure parfois chancelante, voire légèrement bordélique, mais on y voyage comme on voyage entre des piles de livres, justement, chez notre libraire préféré. Il ne manque, ultimement, que cette légère odeur de vieux papier.
Comme dans l’œuvre de Genet, l’autrice de son adaptation entretient des sentiments contradictoires à l’égard de la société qui a accueilli ses parents et où elle a grandi tout en entretenant un désir de revanche. Mais quelle revanche?
Les hommes n’osent généralement pas demander de l’aide et en ce sens, l’album Géants aux pieds d’argile fait œuvre utile, puisque la lecture de cette bande dessinée, qui offre un regard privilégié sur la psyché des hommes d’aujourd’hui et le côté sombre de la paternité, pourrait bien les inciter à le faire.
Lorsque le générique apparaît, on se dit qu’on n’a peut-être pas nécessairement perdu notre temps, mais que tant qu’à regarder des films de dinosaures, pourquoi ne pas plutôt revisiter le classique des classiques, Jurassic Park?