En somme, Le Royaume de Séraphin est bien plus qu’un simple roman. C’est une symphonie d’émotions, une odyssée qui transcende les générations et touche le cœur de chaque lecteur. Mélodie Ducoeur a créé une œuvre intemporelle, une offrande de beauté, de sagesse et d’espoir qui brille dans l’éther de la littérature.
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Noir burlesque montre un Enrico Marini au sommet de son art, tant au niveau du scénario que des dessins. Même ceux et celles qui n’ont jamais regardé de film noir de leur vie risquent d’apprécier ce polar inspiré, s’inscrivant dans la lignée de classiques comme The Spirit de Will Eisner ou le Sin City de Frank Miller.
Quoi qu’il en soit, Putain de mort frappe comme une tonne de briques. En moins de 300 pages, ont est davantage estomaqué et renversé qu’en trois heures de Kubrick et de Martin Sheen. Le tour de force est à la fois monstrueux et admirable. De la très grande littérature. Voire du journalisme littéraire.
Roman peut-être trop prudent, trop intériorisé pour son propre bien, Debout dans vos absences demeure une oeuvre douce, délicate, qui s’égrène lentement comme les pétales d’une marguerite que l’on détache délicatement. Un baume léger pour les coeurs meurtris.
En mettant en vedette un groupe d’enfants tentant tant bien que mal de survivre dans un monde qui aurait pu être le nôtre si l’épidémie de COVID-19 n’avait pas été endiguée, ce troisième tome de La Chute apporte sa propre personnalité au classique récit de fin du monde.
Présentant le meilleur et le pire de la nature humain dans une même et seule histoire, Une soif légitime de vengeance est un polar comme on les aime : adulte, violent, et rempli de zones morales grises. Il s’agit d’une autre série de Rick Remender destinée à devenir un classique.
Au-delà des lieux de culture du thé, des multiples variétés de théiers et des différents ustensiles nécessaires à la préparation et à la conservation du thé, l’auteur fait une large place aux récits de ses prédécesseurs qui ont quelque chose à dire à propos du thé et des ses aventures, si on peut dire.
Samedi est un album unique, dont le récit continue de nous hanter longtemps après l’avoir refermé. Cette œuvre d’une puissance exceptionnelle constitue un bel exemple de ce que peut accomplir la bande dessinée lorsqu’elle devient un terrain d’expérimentation, autant en termes de narration que de présentation visuelle.
Ce qui rend cette lecture inoubliable, ce sont les instants immersifs et les ambiances évocatrices qui fusionnent harmonieusement réalité et fiction.
Sanglante à souhait et magnifiquement dessinée, cette oeuvre pousse paradoxalement à déplorer le fait que l’univers de Turbo Kid a toujours semblé s’appuyer sur de l’esbroufe, plutôt que sur quelque chose de plus solide qui aurait permis de créer un véritable univers.