Dans ce nouvel épisode de Rembobinage, Hugo et Kevin plonge dans le titanesque film de Christopher Nolan sorti l’été dernier, mettant en vedette Cillian Murphy.
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Loin d’être le meilleur chapitre de l’univers cinématographique inspiré des enquêtes paranormales du couple Ed et Lorraine Warren, The Nun II est quand même légèrement mieux réalisé que le volet précédent, et cette suite devrait plaire aux amateurs de films d’horreur préférant une bonne ambiance gothique aux effusions de sang.
Si tout n’est pas à jeter dans cette série, Scott Pilgrim Takes Off a des allures d’hommage raté. On préférera se tourner vers les romans graphiques, justement, ou encore vers le film, pour revivre cette époque d’insouciance.
Le paradis est donc un beau film, mais qui manque de finition et n’arrive pas entièrement à rendre justice au travail de recherche de son réalisateur. Comme la prémisse d’une série télé prometteuse qui mériterait d’être creusée plus loin pour y déceler toute la grâce de ses forces, ses secrets et sa magie.
Sur le fond, Marinette a tout pour rimer avec succès. Dans la forme, malheureusement, c’est plus oubliable.
Toni, en famille n’en demeure pas moins un feel-good movie brillant (souvent très drôle et très juste) et fort d’une lucidité riche à découvrir. Un long-métrage conçu avec un soin palpable qui nous fait passer, avec bonheur, par une large gamme d’émotions.
Hugo et Kevin discutent d’APRÈS-COUPS, réalisé par Romane Garant Chartrand, de CELLES QUI LUTTENT, de Sarah Baril Gaudet, et de MADEMOISELLE KENOPSIA, de Denis Côté.
Par le biais de plusieurs programmes s’articulant autour d’enjeux importants (on pense au volet Voix autochtones et Focus France notamment), ce sera également l’occasion de découvrir quelques exclusivités de haut calibre, mais aussi de rattraper des films qu’on aurait pu manquer par le passé.
Sucré seize demeure donc une hypnotisante proposition loin des conventions (comme notre cinéma ose difficilement se le permettre, malheureusement), casse-gueule en totalité, mais nécessaire de par sa bienveillance et son intérêt marqué pour la beauté de la jeunesse.
Film certainement efficace, film franchement bien tourné – avec une multitude d’inserts fort à propos –, The Killer est du David Fincher qui tourne comme David Fincher. Le résultat? Une oeuvre tout à fait intéressante qui s’inscrit dans une cinématographie aussi éclectique qu’intrigante.