Il ne fait aucun doute que China Miéville prouve, encore une fois, sa grande maîtrise des codes littéraires, mais s’avère aussi – et surtout – capable de faire preuve de transgression, justement. Et de nous offrir un excellent roman au passage.
Browsing: Culturel
Bien que les comics américains et les mangas possèdent chacun des signatures bien différentes, ils se combinent étonnamment aussi bien que le beurre d’arachide et la confiture, et en poussant ce mélange des styles encore un peu plus loin, Batman Ninja vs. Yakuza League s’avère même supérieur au film original dont il est la suite.
En frôlant, en filigrane, des sujets délicats qui sont loin d’être faciles, le film parvient à faire surgir ces héros de l’ombre, ceux qui sommeillent en chacun de nous.
Étonnamment, ceux qui continuent de lire chaque jour pour le plaisir y consacreraient, en moyenne, plus de temps qu’avant: 1 heure et 31 minutes en 2023 contre 1 heure et 20 minutes en 2003.
On se délecte de ce long-métrage au scénario bancal, certes, mais aux scènes d’action n’ayant (presque) rien à envier aux classiques du genre.
Anaïs « RISE » Gilles et Delande « DJUNGLE » Dorsaint ont le rythme au corps; quand les spectateurs s’installent dans la salle, ils sont ainsi déjà sur scène, à bouger sur le fond de musique électronique proposée par les musiciens présents.
Offrant un regard de l’intérieur sur le système de santé québécois, Le poids de nos traces est une bande dessinée incitant à la réflexion et qui, malgré son constat lucide sur les nombreux ratés affligeant nos hôpitaux aujourd’hui, demeure porteuse d’espoir.
Finie, semble-t-il, l’idée qu’en amour, on offre à l’autre ce qu’il n’attendait pas et qu’il ne voulait pas.
Véritable film antiguerre, la nouvelle oeuvre d’Alex Garland laisse tomber les artifices hollywoodiennes pour la réalité bien souvent à la fois terrifiante et banale.
The Last Spark of Hope suscite une réflexion intéressante sur l’intelligence artificielle et, par extension, sur la notion d’obéir bêtement et aveuglément aux ordres. Mais sans autre péripétie que cette série d’échanges entre l’héroïne et son robot, il faut se rendre à l’évidence: ce film aurait pu être un moyen-métrage.