Les rumeurs d’un déclin de la population d’insectes courent depuis une vingtaine d’années. Dans la recherche la plus fouillée à avoir été menée sur le terrain, des chercheurs allemands viennent d’évaluer que, sur la base d’un suivi de 150 sites différents dans leur pays, la perte de biomasse moyenne serait d’environ 50% sur 10 ans. Le nombre d’espèces aurait décliné du tiers.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
L’hypothèse d’une « structure » s’étendant sur des centaines de millions d’années-lumière vient d’avoir un coup de pouce avec l’observation de ce que des astronomes affirment être un « lien » entre des galaxies séparées par d’énormes distances.
Documenter l’impact qu’a la désinformation sur une société plus divisée que jamais et mieux comprendre l’impact des efforts menés pour rejoindre les groupes enfermés dans leurs bulles idéologiques, devraient être deux des priorités de la recherche.
En juin 2014, l’homme d’affaires américain Robert Murray menaçait de poursuivre le gouvernement Obama pour ses futurs règlements sur la qualité de l’air, alléguant que le président mentait sur les changements climatiques. « La Terre s’est en réalité refroidie depuis 17 ans », disait-il.
L’Homo sapiens serait apparu au Botswana, une région du sud de l’Afrique, selon une recherche publiée cette semaine. L’annonce a cependant été rapidement contestée par des scientifiques. Le Détecteur de rumeurs s’est demandé pourquoi.
On est de plus en plus loin de l’image des minuscules ancêtres des mammifères qui se cachaient dans des trous pour échapper aux dinosaures: plus d’un millier de fossiles trouvés au Colorado confirment que nos ancêtres directs étaient déjà plus gros et plus diversifiés, lorsque la collision cosmique s’est produite.
Il y a 50 ans, le 29 octobre 1969, l’étudiant en programmation Charles Kline, à l’Université de Californie à Los Angeles —dans la salle 3420, à 22h30, à ce qu’on raconte— envoyait un texte, depuis son ordinateur, à un autre étudiant, assis devant un autre ordinateur, à l’Institut Stanford, à 500 km de là. Et la suite, on la connaît.
« L’aigle a soudain envoyé des centaines de textos en attente, alors qu’il quittait le Kazakhstan pour entrer en Iran. » Ceci n’est pas une manchette d’un journal satirique, c’est le compte rendu des déboires rencontrés par des chercheurs qui avaient équipé d’un GPS cet aigle des steppes, et 12 autres, afin de pouvoir mieux comprendre les migrations de cet oiseau.
Au Québec et ailleurs, différentes statistiques ont suggéré ces dernières années que l’achat d’un nouveau véhicule montrait des signes de ralentissement. L’autopartage pourrait-il être un facteur?
Les détracteurs de la science du climat aiment bien utiliser le mot « alarmiste » quand ils parlent des climatologues. Et pourtant, les chiffres démontrent que les prédictions contenues dans les précédents rapports du GIEC ont plutôt joué la carte de la prudence.