On n’est plus aussi sûr que le pangolin soit la source du coronavirus. L’affirmation selon laquelle le virus de ce petit mammifère serait génétiquement semblable à notre virus à 99%, s’avère être une erreur de communication « embarrassante ».
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Nous avons une nouvelle lune. Et elle est tellement petite qu’elle est probablement là depuis trois ans, en toute discrétion.
Les personnes qui portent un cardiostimulateur, ou «pacemaker », ne devraient pas conduire de véhicule électrique en raison des interférences que celui-ci pourrait causer… Du moins, selon une rumeur qui circule sur internet. Mythe ou réalité, s’est demandé le Détecteur de rumeurs.
Un sondage publié cette semaine contient une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne: en dépit de l’avalanche de désinformation autour du coronavirus depuis deux mois, une majorité d’Américains voient clair à travers l’écran de fumée. La mauvaise: les républicains sont divisés sur qui croire, entre Trump et les experts médicaux.
Les goélands ne sont pas que des amateurs de frites qui profitent de nos restes de table. Ils semblent privilégier la nourriture qui a déjà été touchée par les humains.
La banque JP Morgan Chase, l’une des plus grosses institutions financières du monde et l’un des plus gros investisseurs mondiaux dans les carburants fossiles, prévient discrètement ses clients des risques croissants que représentent les carburants fossiles pour l’équilibre de la planète et le futur de l’humanité.
Il ne respire pas l’oxygène. Et pourtant, il vit… et on ne sait pas trop d’où il tire son énergie.
Les nouvelles inquiétantes sur une percée du coronavirus en Corée cette semaine — une centaine de cas —, ou au Japon — ses deux premiers décès coup sur coup — masquent deux réalités encourageantes: le nombre de nouveaux cas quotidiens est peut-être en train de ralentir. Et dans 80% des cas, l’infection est sans gravité.
Les climatosceptiques sont peut-être moins nombreux qu’on ne l’imagine… et moins nombreux qu’ils ne l’imaginent eux-mêmes: un quart de leurs messages sur Twitter, pendant un moment crucial de l’automne 2017, avaient en fait été envoyés par des robots.
Twitter préparerait une nouvelle politique en vue des élections américaines de novembre, pour ajouter des étiquettes de couleur sous des messages affichant des informations mensongères ou de la désinformation, selon des reportages qui ont circulé vendredi.