Faut-il sauver l’économie, ou sauver la santé de la population? Personne n’aurait pu imaginer que le débat serait à ce point mis de l’avant par un président avide de visibilité. Mais il se trouve que cela se calcule bel et bien, du moins si on se tourne vers la grippe espagnole d’il y a un siècle.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Une bonne nouvelle dans la mauvaise nouvelle: le nouveau virus se répand vite, mais il ne subit pas beaucoup de mutations. Ça veut dire qu’un éventuel vaccin pourrait avoir une grande efficacité. Et ça rend aussi très improbable le scénario du pire, celui qui verrait le virus muter pour devenir encore plus dangereux.
La toute première analyse des données des malades du coronavirus aux États-Unis, a confirmé les craintes: bien que 17% des Américains aient 65 ans et plus, 31% des cas les plus sévères sont dans ce groupe d’âge.
La plupart des gens l’ont oublié, mais la guérison de la couche d’ozone se poursuit: le « trou » continue de se résorber au-dessus de l’Antarctique, et on commence à pouvoir en mesurer l’influence sur… la direction des vents.
Le nouveau coronavirus serait entré en Italie le 1er janvier, soit sept longues semaines avant le premier cas officiellement détecté. Si cette analyse devait être confirmée, elle poserait beaucoup de questions sur la facilité avec laquelle ce virus a pu échapper aussi longtemps aux écrans radar.
C’est un projet qui a dû impliquer toute une communauté: en Russie, des gens ont construit une structure circulaire d’un peu plus de 12 mètres de large, constituée de crânes, d’os et de défenses de… 60 mammouths.
La première alerte internationale sur ce qui allait devenir la COVID-19 est apparue le 30 décembre, sur une modeste liste de discussion par courriel gérée par un groupe international de passionnés —qui ont suivi à la trace pratiquement toutes les épidémies des 20 dernières années.
Un médicament « prometteur » contre le coronavirus, déjà utilisé contre la malaria, est-il « censuré » comme l’ont prétendu plusieurs messages partagés sur les réseaux sociaux? Le Détecteur de rumeurs a cherché à départager le vrai du faux.
La santé publique répète depuis le début de l’épidémie que la meilleure façon de se protéger contre le coronavirus est de se laver les mains fréquemment. En parallèle, les gels désinfectants sont devenus une denrée rare dans les magasins. Lequel des deux est le plus efficace pour se débarrasser des virus? Le Détecteur de rumeurs a vérifié.
La panique face à une épidémie fait de bonnes images à la télé. Mais la complaisance est, en réalité, davantage répandue, et peut faire davantage de dommages.