Close Menu
Pieuvre
    Facebook X (Twitter) Instagram
    PieuvrePieuvre
    • Accueil
      • Qui sommes-nous?
      • Travaillez avec nous
      • Work with us
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Encouragez Pieuvre
      • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIJM
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • Image+Nation
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • Nuits d’Afrique
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2025
      • Asie
      • Europe
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Jeux préférés de…
        • Rétroctopode
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
      • Dans les coulisses de…
    • Encouragez Pieuvre
    Pieuvre
    Accueil»Culturel»Cinéma / Télévision»Vers l’infini et… un film tout à fait sympathique, avec Lightyear
    Image tirée du film

    Vers l’infini et… un film tout à fait sympathique, avec Lightyear

    0
    Par Hugo Prévost le 19 juillet 2022 Cinéma / Télévision

    Les plus vieux (seigneur) d’entre nous se souviennent du tout premier volet de la série Toy Story, avec cette rivalité acerbe entre Woody, le jouet de longue date d’Andy, et Buzz Lightyear, le nouveau venu qui finira par tout bousculer. Voilà que Disney propose Lightyear, le film qui aurait été à l’origine de la fascination du jeune garçon pour cet explorateur spatial décliné en d’innombrables produits dérivés.

    Embarqué à bord d’un gigantesque vaisseau d’exploration, le ranger spatial Buzz Lightyear est sorti de son sommeil cryogénique par l’ordinateur de bord, et décide d’autoriser l’exploration d’une étrange planète dont on ignore à peu près tout.

    En compagnie de son amie Alisha Hawthorne, Buzz est attaqué par la faune et la flore locales. Cette même flore menace même d’engloutir leur vaisseau, poussant notre héros à mettre les gaz à toute vitesse… Ce qui entraînera éventuellement un accident et l’écrasement du vaisseau en question. Coincés sur ce monde inhospitalier, les passagers du vaisseau tenteront de trouver une façon de fabriquer le carburant hyperspatial nécessaire pour retourner dans l’espace et terminer la mission d’exploration.

    Le hic, c’est que la formule mise au point par les chercheurs ne fonctionne pas, et que Buzz « gaspille » quatre années lors de chaque essai qui, pour lui, ne dure que quelques minutes. À force d’entêtement, voilà que Buzz « voyage » pendant une soixantaine d’années, sans prendre une seule ride. Et après un ultime essai, il découvrira que la colonie humaine est attaquée par le sinistre Zorg, un seigneur robot maléfique. Saura-t-il triompher de l’adversité, aidé d’une équipe peu ou pas entraînée?

    Fondamentalement, rien ne permet de parler de Lightyear comme d’un mauvais film. L’animation est splendide, les personnages sont suffisamment attachants – surtout Sox, le chat robotique, qui multiplie les gags et les clins d’oeil –, la musique est enlevante… Mais rien ne permet non plus de parler de Lightyear comme d’un grand film. On n’y trouve pas, par exemple, cette notion de liens familiaux comme dans le fantastique Encanto, pas plus qu’on n’y présente l’histoire d’une personne dénuée de talents particuliers qui apprend à surmonter les obstacles pour prouver sa valeur. Non, on y raconte les aventures d’un individu qui est déjà surdoué, et qui doit s’attaquer à un nouveau défi. Rien de condamnable, certes, mais rien de révolutionnaire, non plus.

    Et on ne s’attardera pas sur la fausse controverse concernant le couple de femmes qui s’embrassent, pendant à peu près une seconde, au début du film. Le plus fâchant, dans cette histoire, ce ne sont pas les conservateurs qui, supposément outrés, ont parlé de la « déchéance morale » de la société américaine… Comme s’ils ne se vautraient pas dans la pornographie lesbienne.

    Non, le plus fâchant, c’est le fait que Disney a prévu cette scène comme étant facile à couper au montage. D’ailleurs, dans la version visionnée par ce journaliste, ledit baiser, qui est tout à fait innocent, n’apparaît même pas.

    Pourquoi ne pas avoir fait preuve de fermeté morale, pour une fois, et ne pas avoir présenté un couple homosexuel comme étant central au déroulement du scénario? Pourquoi Buzz Lightyear ne tombe-t-il pas amoureux d’un homme? Disney se plaît à se prétendre progressiste, tout en s’assurant que ces miettes d’ouverture d’esprit puissent être rapidement balayées sous le tapis. Il ne faudrait pas empêcher que sonne le tiroir-caisse, après tout!

    Bref, avec une histoire sympathique, mais relativement ordinaire, et avec une controverse qui découle à la fois de l’obscurantisme d’une partie de son public, et d’une volonté de jouer sur tous les tableaux, Disney propose un Lightyear qui fait sourire, certes, mais qui ne passera pas à l’histoire. Et c’est bien dommage.

    Abonnez-vous à notre infolettre tentaculaire

    Encouragez-nous pour le prix d’un café

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    8 mai 2025

    La Voûte #22: Kill Bill, partie 1

    8 mai 2025

    L’été s’invite plus tôt avec la troisième saison de Premier trio

    6 mai 2025

    Rembobinage #167: Bonjour tristesse

    Hugo Prévost
    • Facebook
    • X (Twitter)

    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

    Répondre Annuler la réponse

    Vous cherchez un contenu?
    Abonnez-vous à l’infolettre!

    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Jamais lu
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    • Dans les coulisses de…
    Récemment publié
    10 mai 2025

    IA, réseaux sociaux et surveillance de masse: une combinaison dangereuse

    Othello © Stéphane Bourgeois
    9 mai 2025

    Othello, ou la tragédie de la perversion

    Tout s’effondre © Do Phan Hoi
    9 mai 2025

    L’effondrement, façon danse contemporaine

    9 mai 2025

    Après 24 ans, un dernier Jamais lu émouvant pour sa directrice générale

    8 mai 2025

    Une immigration encore importante, au Québec, mais une fécondité au plus bas

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Qui sommes-nous?
    • Contactez-nous
    © 2009-2025 Pieuvre.ca. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.

    Gérez votre confidentialité

    Pour offrir les meilleures expériences, nous et nos partenaires utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations de l’appareil. Le consentement à ces technologies nous permettra, ainsi qu’à nos partenaires, de traiter des données personnelles telles que le comportement de navigation ou des ID uniques sur ce site et afficher des publicités (non-) personnalisées. Ne pas consentir ou retirer son consentement peut nuire à certaines fonctionnalités et fonctions.

    Cliquez ci-dessous pour accepter ce qui précède ou faites des choix détaillés. Vos choix seront appliqués uniquement à ce site. Vous pouvez modifier vos réglages à tout moment, y compris le retrait de votre consentement, en utilisant les boutons de la politique de cookies, ou en cliquant sur l’onglet de gestion du consentement en bas de l’écran.

    Fonctionnel Toujours activé
    Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’internaute, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
    Préférences
    L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
    Statistiques
    Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
    Marketing
    Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’internaute sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
    Statistiques

    Marketing

    Fonctionnalités
    Toujours activé

    Toujours activé
    Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
    Gérer les options
    {title} {title} {title}

    logo

     Ne manquez aucun article ou épisode de podcast: abonnez-vous à l’infolettre!