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    Accueil»Culturel»Cinéma / Télévision»Wonder Woman 1984, ou les voeux dangereux
    Image tirée du film

    Wonder Woman 1984, ou les voeux dangereux

    0
    Par Patrick Robert le 4 avril 2021 Cinéma / Télévision

    Si son lancement en salles a été grandement chamboulé par la pandémie, il est enfin possible de voir Wonder Woman 1984 dans le confort de son foyer depuis la semaine dernière grâce à sa sortie en 4K, Blu-ray et DVD.

    En 1984, quelque soixante-dix ans après avoir quitté l’île de Themyscira, Diana Prince travaille maintenant pour le Smithsonian. Suite à un cambriolage, elle et sa collègue Barbara Minerva, une femme timide qui vient tout juste d’être embauchée par le musée, sont appelées à authentifier un lot de trésors archéologiques récupérés par la police. Parmi ces antiquités se trouve une Citrine, une pierre tout d’abord considérée comme une breloque de pacotille par les deux expertes, mais qui s’avère en fait être un artéfact ancien, capable d’exaucer les vœux de quiconque le touche. Les choses se corsent quand Maxwell Lord, un homme d’affaires ambitieux à qui le succès échappe, parvient à dérober cet objet magique, libérant ainsi une terrible menace sur notre civilisation que seule Wonder Woman peut stopper.

    La pochette du boîtier

    Pour apprécier Wonder Woman 1984, les personnes familières avec l’héroïne créée par William Moulton Marston devront mettre de côté ce qu’ils connaissent des bandes dessinées et garder l’esprit ouvert puisque, malgré la présence de Geoff Johns (un vétéran de DC Comics) au scénario, la réalisatrice Patty Jenkins prend beaucoup de libertés avec la mythologie établie par les comics. Réécrire comment Diana Prince s’est retrouvée en possession d’un jet invisible est certes un détail mineur, mais en plus d’une version « réinventée » de Maxwell Lord, le film dénature en profondeur l’origine de Barbara Minerva alias Cheetah, une Némésis qui est pour l’Amazone l’équivalent du Joker pour Batman. Les puristes risquent d’être irrités par ce manque de respect envers le matériel original, mais le grand public, qui n’a jamais lu les aventures sur papier de Wonder Woman, ne s’en formalisera évidemment pas.

    Patty Jenkins mise beaucoup sur l’émotion avec Wonder Woman 1984, et elle y aborde des thèmes comme la solidarité féminine, ou la drague constante et le harcèlement dont les femmes sont victimes. À l’exception d’une scène au tout début montrant les jeux sur Themyscira et un cambriolage dans un centre d’achat stoppé de manière spectaculaire par Wonder Woman, il y a peu de moments à grand déploiement dans la première moitié du long-métrage, qui dure pas moins de deux heures trente. La seconde partie propose par contre une véritable orgie d’action et d’effets spéciaux, et ressemble davantage à l’idée qu’on se fait d’un film de superhéros traditionnel, montrant un chaos aux allures de fin du monde, des batailles épiques, ou une Diana Prince apprenant à surfer sur les courants aériens et se déplaçant à travers les cieux en attrapant des éclairs avec son lasso lumineux.

    Image tirée du film

    Gal Gadot se glisse de nouveau dans la peau de Wonder Woman, et l’actrice est vraiment le choix parfait pour incarner la mythique héroïne. Bien que son personnage de Steve Trevor soit mort dans le volet précédent, les scénaristes ont trouvé le moyen de ramener Chris Pine, et ce dernier, projeté 70 ans dans le futur, est très crédible avec son air ébahi et émerveillé en permanence. Incarnant Maxwell Lord, Pedro Pascal (Game of Thrones) livre un vilain subtil et beaucoup moins monolithique de ce qu’on a l’habitude de voir à l’écran. Kristen Wiig, qui a longtemps fait de la comédie du côté de Saturday Night Live, montre l’étendue de son talent en interprétant Barbara Minerva, dont on assiste à la transformation graduelle, de femme mal dans sa peau à prédatrice. On a aussi droit à une petite apparition de Lynda Carter, l’interprète de Diana Prince dans la série télévisée de la fin des années 1970.

    La version ultra-haute définition de Wonder Woman 1984 contient le film sur disques 4K et Blu-ray, et s’accompagne d’un code pour télécharger une copie numérique. La production n’a pas lésiné sur le matériel supplémentaire, et l’édition contient entre autres un Making of d’une trentaine de minutes, les coulisses de deux scènes d’action, un infomercial de la compagnie fictive Black Gold, un montage des décrochages les plus drôles survenus sur le plateau, une revuette sur l’amitié qui s’est tissée entre les deux actrices principales, une autre sur la jeune comédienne jouant Diana Prince à l’âge de huit ans, ainsi qu’un panel DC Fandom d’une vingtaine de minutes sur les habitantes de Themyscira, intitulé Meet the Amazons.

    Tout en mélangeant deux choses immensément populaires, soit les superhéros et la nostalgie des années 1980, Wonder Woman 1984 est une suite inférieure au film original qui, malgré son rythme inégal, demeure tout de même très divertissant.

    7/10

    Wonder Woman 1984

    Réalisation : Patty Jenkins

    Scénario : Patty Jenkins, Geoff Johns et Dave Callaham (d’après les personnages créés par William Moulton Marston)

    Avec : Gal Gadot, Chris Pine, Kristen Wiig, Pedro Pascal, Robin Wright, Connie Nielsen et Lilly Aspell

    Durée : 151 minutes

    Format : UHD (4K, Blu-ray et copie numérique)

    Langue : Anglais, français, espagnol et portugais

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