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    La pratique de la musique aurait une série d'avantages en matière de santé mentale, même si ceux-ci diffèrent en fonction du genre.

    La pratique de la musique, un baume en temps de pandémie?

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    Par Agence Science-Presse le 17 avril 2025 Santé

    Percussions, clarinette ou clavier, quel que soit l’instrument, faire de la musique contribue à notre bien-être, particulièrement en période de grand stress. C’est ce que montre un portrait dressé pendant la COVID, dans une récente étude pancanadienne.

    Amélioration du bien-être, de la santé mentale et du soutien social: « les bénéfices sont même plus importants chez ceux qui font cette activité uniquement pour le plaisir », note l’auteure principale de l’étude et professeure en pédagogie musicale au département musique de l’UQAM, Audrey-Kristel Barbeau.

    Les données, compilées entre la première vague de la COVID et la moitié de l’année 2022, suggèrent que la pratique musicale régulière, en particulier en groupe et en amateur, combinée à un engagement dans des activités sportives et sociales, protège notre santé psychologique.

    Confinés à la maison, 1619 Canadiens de plus de 14 ans qui ont poursuivi leur pratique musicale ont témoigné de ces bienfaits. Les quatre catégories de participants — des musiciens professionnels et des amateurs, des élèves du secondaire et du postsecondaire — ont répondu à des questionnaires standardisés d’auto-évaluation du bien-être, de la santé mentale et du soutien social.

    Certaines réponses montrent que les bienfaits d’une pratique musicale régulière ont compensé les petits stress liés à l’isolement et à l’adaptation aux rencontres virtuelles.

    Cela a même permis la découverte de la pratique de la musique en ligne – avec Zoom, par exemple – même si beaucoup disaient s’ennuyer des « vraies » répétitions en groupe.

    « La pratique en virtuel, presque nulle avant la pandémie, a progressé de plus de 15%. Les répondants se disent nombreux à avoir découvert la possibilité d’avoir des cours privés de cette façon, ce qui a ouvert une multitude de possibilités », ajoute la chercheuse.

    Les musiciens solos subissaient plus d’impacts négatifs, mais bénéficiaient généralement d’un meilleur soutien social. De plus, des facteurs tels que l’engagement sportif et la participation à des activités de bénévolat ont eu une influence positive.

    « C’est aussi une question de fréquence. Car plus le musicien pratique souvent, plus cela lui est bénéfique. En fait, si l’on regarde seulement ceux qui pratiquent la musique à « haute intensité » (au moins trois fois par semaine), le bien-être était supérieur chez ceux dont ce n’était pas le métier ou les études », confirme Audrey-Kristel Barbeau.

    Chez les femmes, l’avantage de pratiquer la musique est plus grand au plan de la santé mentale, tandis que chez les hommes, c’est le bien-être.

    Les musiciens amateurs et plus âgés en tête

    La chercheuse, qui est également fondatrice de l’Harmonie nouveaux horizons de Montréal, une initiative communautaire pour la participation musicale intergénérationnelle, ajoute que les musiciens amateurs et ceux d’un certain âge ont tout particulièrement bénéficié de la poursuite de cette activité pendant la COVID.

    « Il y a un avantage de l’âge, lié peut être au bagage de vie et aux perceptions différentes de la musique. Ils ont sans doute une meilleure capacité de résilience que leurs cadets », relève la chercheuse.

    Les impacts au niveau du bien-être sont par contre moins perceptibles chez les musiciens professionnels et les étudiants aux cycles supérieurs, probablement parce que, pendant la pandémie, ces deux groupes faisaient face à des angoisses communes: réussite de leurs études ou poursuite de leur vie professionnelle.

    Comme chercheuse, elle avoue que cela a été plus difficile de poursuivre certaines de ses recherches… après la pandémie ! « Alors que je pensais boucler les choses avec une ou deux visites dans un grand chœur, il m’a fallu plus un an pour recruter les 80 musiciens de ma prochaine étude ».

    Alors que pour la présente étude, il a suffi d’un sondage en ligne et pendant 6 mois.

    L’effet spécifique de la musique

    C’est un sujet intéressant et une très bonne équipe de recherche, commente la psychologue à l’Université de Sherbrooke, Lise Gagnon: « la pratique musicale, cela stimule les zones du plaisir du cerveau, c’est comme manger du chocolat… Leurs données supportent ce que d’autres études ont montré – cet effet spécifique et irremplaçable de la musique. »

    Et pourtant, on sait depuis longtemps, par la recherche scientifique, que les musiciens professionnels expérimentent moins de bien-être que les amateurs. « La musique est extraordinaire, mais un peu moins pour ceux dont c’est le métier. »

    C’est que la pratique professionnelle implique souvent de la solitude, particulièrement chez les solistes et les professionnels qui pratiquent un seul instrument.

    « La musique a beaucoup d’effets positifs, particulièrement la musique ensemble. J’aurais aimé voir dans cette étude la barrière de  synchronicité – voir les écrits d’Isabelle Peretz. Comme on ne pouvait pas se regrouper pendant la pandémie, cela nous privait de vivre le plaisir relié au fait d’être ensemble et de créer ensemble », explique celle qui est également au Laboratoire de recherche sur la psychologie clinique de la musique et des sages.

    De fait, comme on peut le voir dans un des tableaux de l’étude, chez les professionnels, ce sont les ensembles mixtes qui affichent le plus grand score du bien-être. « Généralement, les musiciens pratiquent plusieurs instruments et la pandémie a eu un impact direct sur cette variable. De nombreux élèves ont été très persévérants et se sont mis à faire du Zoom pour faire de la musique ensemble, mais cela a été souvent compliqué. »

    « La richesse de cette étude est de tenter de mettre en relation plusieurs variables: l’effet d’âge, être musicien professionnel ou amateur, faire d’autres choses», relève encore la Pre Gagnon.

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