Pieuvre.ca
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Science»Environnement»Une rivière sous respirateur
    Dans bien des rivières, le niveau d'oxygène est tellement bas que la faune, comme les poissons, est menacée de disparition.

    Une rivière sous respirateur

    0
    Par Agence Science-Presse le 14 septembre 2023 Environnement

    Ces dernières années, près d’une centaine de rivières britanniques ont eu droit à une intervention inusitée: leur « injecter » de l’oxygène pour empêcher les poissons de mourir. 

    L’initiative de l’Agence environnementale britannique, révélée cette semaine par le magazine New Scientist, est un rappel qu’une rivière, comme tout secteur marin,  peut devenir une « zone morte », par manque d’oxygène: ce déficit peut être le résultat d’une croissance explosive des algues, qui monopolisent l’oxygène, au détriment du reste de la vie marine —poissons et plantes aquatiques. Et cette explosion d’algues peut elle-même être causée par un déversement de déchets organiques ou d’engrais agricoles, ou par des températures plus élevées.

    Selon des documents obtenus par le magazine en vertu de la loi d’accès à l’information, l’agence gouvernementale a effectué en moyenne 20 de ces « interventions » chaque année depuis 2018. Celles-ci consistent bel et bien à « pomper » de l’oxygène, soit par aération mécanique —qui augmente le taux d’oxygène dans une zone donnée en brassant la surface— soit par du peroxyde d’hydrogène (H2O2) liquide. En août 2022, une telle intervention dans la Tamise, qui traverse Londres, s’était étirée sur 11 jours.

    C’est littéralement l’équivalent de mettre les poissons sur le respirateur artificiel, commente le biologiste marin Gary Caldwell, de l’Université Newcastle. Une mesure de dernier recours, qui pourrait se répéter dans davantage de cours d’eau et de lacs.

    Le gouvernement d’une des provinces de l’Australie avait révélé en 2019 avoir fait la même chose devant la mort massive de poissons dans le contexte d’une canicule. Sur une base moins officielle, des chercheurs aux États-Unis et au Canada ont testé la chose, dans le but d’en évaluer l’impact. En effet, si l’initiative est inusitée, c’est parce que personne n’est en mesure d’affirmer si elle fonctionnera, ou pendant combien de temps, du moins tant que les déversements de polluants se poursuivront et que la température continuera d’augmenter.

    Abonnez-vous à notre infolettre tentaculaire

    Encouragez Pieuvre.ca pour seulement 5 $ par mois

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    25 septembre 2023

    Nous n’aurions identifié que 2 % de notre exposition aux produits chimiques

    21 septembre 2023

    La stabilité climatique, un droit à encadrer pour briser l’impasse de la crise

    17 septembre 2023

    Les limites de la Terre, version 2023

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • X (Twitter)

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Montréal complètement cirque
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    29 septembre 2023

    Essence, pour un demi-siècle d’existence des Ballets Jazz de Montréal

    29 septembre 2023

    Après l’expansion du BRICS, une route pavée d’embûches

    29 septembre 2023

    Les parents québécois sont heureux… mais stressés

    28 septembre 2023

    L’IA, une conseillère scientifique?

    28 septembre 2023

    Lancement de saison réussi pour la Salle Bourgie

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.