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    Accueil»Société»Santé»Pandémie: on n’éteint pas le feu si on n’en arrose qu’une partie
    La plupart des pays en développement ne peuvent accéder aux vaccins contre la COVID-19 en raison de leur coût.

    Pandémie: on n’éteint pas le feu si on n’en arrose qu’une partie

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    Par Agence Science-Presse le 25 avril 2021 Santé

    « S’ils respectent leurs promesses, les pays riches peuvent mettre fin à la pandémie. » Une référence à leurs promesses de contribuer à l’achat des doses de vaccins nécessaires aux pays qui, eux, n’en ont pas les moyens.

    Dans une lettre publiée jeudi dernier, le directeur de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, prévient toutefois qu’on n’en est pas là. « Près d’un milliard de doses de vaccins contre la COVID ont été administrées à travers le monde et pourtant, le nombre hebdomadaire de cas a battu un record la semaine dernière, et les décès sont en augmentation. Comment cela est-il possible? »

    Très simplement, répond-il à sa question, vous ne pouvez pas éteindre un incendie « si vous n’en arrosez qu’une partie ».

    Certes, il y a la hausse des variants plus transmissibles qui complique la donne. Certes, il y a la levée prématurée des mesures sanitaires ici et là. Mais il y a surtout le fait que sur le quasi-milliard de doses, seulement 0,3% est allé aux pays à faibles revenus.

    Tedros Ghebreyesus n’est pas le premier à tirer cette sonnette d’alarme. Dès décembre, des experts estimaient que si la tendance se maintenait, certains pays devraient attendre 2022, voire 2023, avant d’avoir vacciné leur population. Mais ces avertissements semblaient abstraits à une partie des pays riches. Ce mois-ci, avec l’arrivée des variants, et avec l’explosion des cas en Inde, les « autres pays » semblent soudain beaucoup plus concrets.

    Le mécanisme pour ne pas prolonger cette erreur existe pourtant. En juin 2020, plusieurs partenaires internationaux avaient créé l’initiative de partage des vaccins COVAX, dont le principe était simple: avec suffisamment d’argent en poche, ces partenaires pouvaient approcher les fabricants de futurs vaccins et leur faire des promesses d’achat —et ces doses seraient alors distribuées équitablement. C’était un pari: en juin, personne ne pouvait garantir qu’un ou des vaccins seraient vraiment prêts six mois plus tard. Sauf qu’à mesure que cette perspective est devenue réalité, au cours de l’automne, les pays riches ont eux-mêmes négocié auprès des fabricants et ont acheté leurs propres doses, court-circuitant COVAX. Le mois dernier, sur les 8,2 milliards de promesses d’achats de doses de vaccins, plus de 7 milliards venaient directement des pays, contre 1 milliard de COVAX.

    Une des solutions est connue depuis le début: que les fabricants renoncent à leurs brevets sur ces vaccins, de manière à ce que d’autres compagnies puissent en fabriquer des copies à moindre coût. Il a été proposé que cela se fasse à travers un mécanisme neutre — COVID-19 Technology Access Pool — sous l’aile de l’OMS. Une autre proposition, soutenue en octobre par l’Afrique du Sud et l’Inde, est d’autoriser l’Organisation mondiale du commerce à suspendre les droits de propriété intellectuelle sur ces vaccins, vu les « circonstances exceptionnelles ». Jusqu’ici, la plupart des pays les plus influents s’y opposent. « Que nous le fassions ou non, écrit le directeur de l’OMS, n’est pas un défi scientifique, financier ou industriel. C’est un défi de personnalité. »

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