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    Accueil»Société»Santé»Les goûts pornos de l’un, les troubles alimentaires de l’autre
    La consommation de pornographie par le partenaire masculin jouerait sur l'image corporelle des femmes et augmenterait le risque de développer un trouble alimentaire.

    Les goûts pornos de l’un, les troubles alimentaires de l’autre

    1
    Par Pieuvre.ca le 14 février 2019 Santé

    Une femme dont le petit ami ou le conjoint regarde régulièrement de la pornographie est plus à risque de signaler des symptômes de déséquilibre alimentaire, révèle une nouvelle étude.

    Cette étude est l’une des premières à se pencher sur la façon dont le comportement d’un partenaire amoureux peut être lié aux risques qu’une femme vive ou ressente une culpabilité extrême à propos de son alimentation, qu’elle se préoccupe bien davantage de son pourcentage de gras corporel, ou encore qu’elle s’adonne au gavage ou se fasse vomir.

    En plus d’établir un lien entre la consommation de pornographie d’un partenaire et les troubles de l’alimentation, les travaux ont aussi permis de mettre au jour une plus forte occurrence de l’apparition de ces symptômes chez des femmes ayant ressenti une pression, de la part de leur partenaire, pour perdre du poids.

    Cette étude, menée par des scientifiques de l’Université d’État de l’Ohio, est publié dans l’International Journal of Eating Disorders.

    « Nous parlons souvent de l’influence des médias, de la famille et des proches en lien avec les problèmes alimentaires, mais peu de choses ont été accomplies pour déterminer de quelle façon l’influence d’un partenaire pourrait contribuer aux troubles alimentaires d’une femme », menti0nne Tracy Tylka, professeure de psychologie. « Il y a un vide à combler en recherche à ce sujet, et si certaines variables présentes chez les partenaires sont des facteurs de risque, alors nous devrions leur prêter davantage attention. »

    Il s’agit également de la première étude du genre à s’intéresser à l’influence du partenaire auprès des femmes plus âgées, et qui ont davantage de chances de se trouver dans une relation à long terme.

    « Les femmes qui participaient à cette étude étaient âgées de 34 ans en moyenne, et provenaient d’un bassin démographique plus vaste que l’adolescente blanche anorexique typique », a précisé Mme Tylka.

    « Les troubles alimentaires affectent bien des gens qui ne correspondent pas à cette description – jusqu’à 20, voire 25% des femmes – et cette étude nous aide à mieux comprendre les influences exercées sur ces femmes. »

    Plus de porno, plus de pression?

    Les participantes, 409 femmes américaines en couple avec des hommes, ont répondu à un questionnaire visant à identifier les symptômes de troubles alimentaires, en plus de fournir des informations sur la perception de la pression de la part des médias et d’autres personnes (partenaires, amis et proches) pour qu’elles perdent du poids et maigrissent.

    Ces femmes ont également indiqué le nombre d’heures de pornographie écoutées par semaine par leur partenaire actuel, et estimé le nombre de fois où leur partenaire avait écouté de tels contenus.

    « En ce qui concerne plusieurs troubles alimentaires, la pression perçue de la part d’un partenaire amoureux pour perdre du poids semble être plus dommageable que la pression de la part des amis et des proches, voire même des médias », a précisé Mme Tylka.

    Et la consommation de pornographie et la pression pour amincir semblent être associées aux troubles alimentaires chez les femmes, même si les femmes en question n’idéalisent pas la minceur, selon l’étude.

    Ainsi, les femmes réagiraient à la perception de la femme « idéale » selon le point de vue de leur partenaire, et ce même si cela ne fait pas partie de leurs propres valeurs.

    Mme Tylka a dit s’intéresser à la possible relation entre la consommation de pornographie et les troubles alimentaires puisque cela pourrait pousser les femmes à sentir de la pression pour correspondre à un modèle corporel irréaliste, ou à « se sentir peu désirables parce que leur partenaire consacre du temps

    « Certains professionnels plaident déjà pour que les partenaires participent aux efforts de prévention et de traitement des troubles alimentaires, et ces conclusions viennent corroborer cet argument », conclut la chercheuse.

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