Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Société»Santé»Pour réduire l’asthme, il faut réduire la pollution, pas le trafic

    Pour réduire l’asthme, il faut réduire la pollution, pas le trafic

    0
    Par Agence Science-Presse le 2 mai 2018 Santé

    Certains péages urbains contribuent à diminuer les polluants responsables de l’asthme. D’autres, non. Et ailleurs, comme à Montréal, il est difficile de dire s’il y aurait un impact.

    À Stockholm par exemple, le péage urbain est bon pour les enfants. Une étude réalisée par un organisme américain démontre que la mesure, instaurée en 2007 pour lutter contre la congestion, aurait permis de diminuer la pollution aux particules fines et au dioxyde d’azote (NO2) de 5 à 20 % en trois ans. L’asthme infantile aurait suivi la tendance en baissant de moitié.

    À l’inverse, ces résultats n’ont pas été observés à Londres, qui a instauré un péage urbain en 2003 pendant les heures de travail, pour lutter contre les bouchons. Selon une étude présentée en mars lors de la conférence annuelle de la Société royale britannique d’économie, c’est même le contraire. Les niveaux de NO2 ont augmenté de 10% en quatre ans. L’augmentation du trafic de bus et de taxis, équipés de moteurs diesel et autorisés à entrer dans la zone, est l’explication avancée par les chercheurs.

    Qu’en serait-il à Montréal, où l’idée d’imposer un péage pour entrer au centre-ville est suggérée depuis des années? Une étude de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, réalisée dès 2006, montre la forte prévalence de l’asthme chez les enfants de 6 à 12 ans sur l’île (plus d’un enfant sur 6), mais pointe aussi la disparité d’un quartier à l’autre.

    En ce qui concerne les facteurs de risque sur l’île, l’automobile, bien qu’elle joue un rôle en raison des émissions de NO2, n’est pas en tête. Le faible poids à la naissance, l’exposition à la fumée in utero (tabagisme de la mère enceinte), l’absence d’allaitement et l’humidité des logements, étaient mis en avant dans l’étude de 2006.

    Pour qu’un péage urbain contribue à la réduction de l’asthme infantile, il faudrait donc qu’il soit conçu pour lutter contre la pollution et pas seulement contre le trafic. En 2008, Londres a instauré une « zone à faibles émissions ». Les véhicules polluants doivent payer pour y entrer. Mais les taxis diesel restent exemptés. Une « zone à ultra faibles émissions » est prévue pour 2019.


    En complément:

    https://www.pieuvre.ca/2018/04/15/la-baisse-du-niveau-de-vie-un-facteur-de-deces/

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    19 septembre 2023

    La dengue, une maladie en croissance rapide

    12 septembre 2023

    L’influenceuse anti-lunettes aux huiles essentielles

    31 août 2023

    Hésitation vaccinale canine

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Montréal complètement cirque
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    22 septembre 2023

    La violence kawaii d’AK-xolotl

    22 septembre 2023

    Providencia, un sans-faute théâtral aux Écuries

    22 septembre 2023

    Plus Donald Trump ment, plus les républicains le croient

    22 septembre 2023

    L’Érotisme de vivre : Catherine Ringer à fleur de chair

    22 septembre 2023

    Sur Instagram, les contenus sexualisés affectent négativement l’estime de soi des jeunes femmes

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.