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    Accueil»Technologie»Jeux vidéo»Mad Max, ou l’amour des grosses cylindrées
    Image tirée du jeu.

    Mad Max, ou l’amour des grosses cylindrées

    0
    Par Hugo Prévost le 29 janvier 2018 Jeux vidéo

    L’idée avait forcément du bon: dans la foulée de la multiplication des jeux d’exploration dits « ouverts », les dirigeants de l’éditeur de jeux vidéo Warner Bros. ont profité de la sortie de l’excellent Mad Max: Fury Road pour lancer leur propre titre permettant l’exploration d’un monde post-apocalyptique dans la peau du célèbre personnage.

    Un homme. Une voiture. Le désert radioactif. Qu’il s’agisse de Mel Gibson, de Tom Hardy ou encore d’un héros masculin générique, l’univers de Mad Max transpire la virilité et le machisme profondément cliché. Dans ce monde où le monde n’est justement plus, seul le plus fort pourra l’emporter. Et pour parvenir à ses fins, soit de traverser un gigantesque désert pour atteindre un nébuleux objectif, Max devra mettre la main sur un moteur V8.

    Plus facile à dire qu’à faire… En effet, le protagoniste entame la partie sans ressources, et surtout sans voiture. Après avoir fait la connaissance d’un mécano mutant, il accomplira diverses missions permettant, peu à peu, d’améliorer les performances de son véhicule et d’acquérir les nombreuses pièces nécessaires pour se transformer en un danger ambulant.

    Développé par Avalanche Studios et sorti en 2015, Mad Max s’appuie sur une série de prémisses particulièrement intéressantes. Bien entendu, les quatre films de la « série » ont offerts quelques détails sur ce monde post-apocalyptique où l’eau vaut plus cher que le pétrole, mais il y avait suffisamment de flou dans ces oeuvres cinématographiques pour que les développeurs puissent y aller allègrement et ajouter de la chair scénaristique autour de l’os.

    Nous voilà donc lancés sur les routes sablonneuses de ce qui ressemble fort à la Baie de San Francisco, ou du moins une version radioactive et désertique de celle-ci. Conformément aux mécaniques du genre, le héros devra récupérer des ressources, accomplir des missions centrales et secondaires, ainsi qu’affronter des ennemis toujours plus puissants pour parvenir à ses fins.

    Image tirée du jeu.

    La beauté d’un monde détruit

    Visuellement, le jeu est superbe. On aurait pu croire que la conduite dans le désert ressemblerait à un choix artistique facile et paresseux de la part de l’équipe de développement, mais il n’en est rien: falaises, canyons, cavernes, lagunes desséchées… les paysages demeurent variés et intrigants. Idem pour certains aspects architecturaux jonchant ici et là la plaine. Après la chute de la civilisation, les ennemis, rassemblés entre autres sous la poigne de fer de Scrotus, ont construit des bases retranchées dans d’anciennes structures.

    Tout est usé, vieux, ancien. Tout semble tenir avec des ficelles, y compris la voiture du héros, qui prendra peu à peu des allures de char d’assaut. Résultat de la disparition de l’ancien monde, d’ailleurs, pas question de foncer vers les ennemis en tirant dans le tas. Il existe des armes à feu, bien entendu – y compris le célèbre fusil à canon scié des films -, mais les munitions sont rares. Il faudra donc y aller à mains nues, en profitant d’un système d’attaques et de blocage qui ne surprendra pas ceux qui ont déjà tâté des récents jeux d’action Batman, ou encore de Shadow of Mordor, lui aussi un titré édité par Warner Bros.

    Et puisque l’essence continue de circuler largement dans ce monde qui s’est pourtant entre autres autodétruit lors des guerres pour le contrôle du pétrole, les développeurs s’en sont donné à coeur joie en multipliant les effets de flammes, tous aussi réussis les uns que les autres.

    On pousse même l’audace à laisser planer l’idée d’une certaine spiritualité dans ce monde déjà ancien, même si cela semble principalement servir à faire progresser le personnage principal en augmentant ses capacités.

    L’affiche du jeu.

    Nouveau monde, anciens problèmes

    Avec des courses violemment endiablées dans des paysages de cauchemar, des effets visuels particulièrement réussis – y compris les cataclysmiques tempêtes extraites de Fury Road – et un univers scénaristique où l’on peut broder sans trop de problèmes, le jeu Mad Max devrait disposer de tous les ingrédients nécessaires pour rafler les honneurs.

    Si le titre a effectivement su tirer parti de ses nombreuses qualité, il souffre également des défauts inhérents à ce genre de jeu en « monde ouvert ». Des missions franchement beaucoup répétitives, des dialogues qui ont eu aussi tendance à tourner en boucle, des problèmes irritants d’interface qui dépend parfois de systèmes de contrôle peu précis… On aimerait vraiment plonger tête première dans ce jeu qui est certes basé sur des films, mais qui n’est pas restreint par des décennies de contenus déjà produits, ou qui n’est pas l’énième suite d’une série exploitée jusqu’à plus soif. On va d’ailleurs y consacrer de nombreuses heures, mais devant un autre méchant de service ressemblant à tous les méchants de service qui l’ont précédé, devant une autre incitation à faire exploser des trucs pour libérer des camps ennemis, pour ensuite obtenir des ressources supplémentaires pour aller faire exploser d’autres trucs, et ainsi de suite, on jette l’éponge.

    Si les missions étaient plus variées, si l’on passait moins de temps à effectuer constamment les mêmes gestes, les mêmes combats, les mêmes allers-retours, alors Mad Max profiterait d’une chaude recommandation. En l’état, on ne peut suggérer ce titre qu’aux véritables mordus de ce genre de jeu.


    En complément:

    https://www.pieuvre.ca/2018/01/18/sens-dessus-dessous-avec-innerspace/

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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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