Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    0 Shopping Cart
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Boutique
    Pieuvre.ca
    Accueil»Société»Les GMF ne sont pas à la hauteur, dit l’IRIS
    Selon l'IRIS, les GMF pourraient carrément nuire à la santé publique

    Les GMF ne sont pas à la hauteur, dit l’IRIS

    0
    Par Pieuvre.ca le 19 mai 2017 Société

    Le rencentrage de la première ligne de soins de santé au Québec, qui est passée des CLSC aux groupes de médecine familiale (GMF), ne s’est pas déroulée sans heurts, estime l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS).

    Dans une note d’information, l’IRIS écrit ainsi que ces GMF n’ont non seulement pas amélioré l’accès aux soins, mais font également courir le risque d’une rupture de services pour la population.

    « Tout d’abord, miser sur les GMF n’a pas permis d’améliorer l’accès aux soins de santé et aux  services sociaux. Non seulement le nombre d’inscrits auprès d’un médecin de famille a diminué, mais la transformation de cliniques médicales en GMF ainsi que le transfert de personnel des CLSC vers ceux-ci réduisent l’accès aux services de santé et aux services sociaux pour les personnes non inscrites en GMF », analyse Anne Plourde, chercheure-associée et auteure de la note.

    Au dire de l’IRIS, la proportion de Québécois inscrits auprès d’un médecin de famille est ainsi passée de 75,5%, en 2003, à 63,8% en 2014. Si ce taux est remonté à 73% en 2016, il s’agit tout de même d’un résultat inférieur aux données d’une dizaine d’années auparavant. Et pour les chercheurs, cette remontée est majoritairement imputable à la loi 20, qui pousse les médecins de famille à suivre davantage de patients, sous peine de pénalités financières.

    « Le transfert de ressources des CLSC vers les GMF représente également une forme de privatisation. Bien que les GMF soient entièrement financés par des fonds publics, ce sont pour la plupart des cliniques privées qui appartiennent aux médecins et qui sont gérées de manière privée par ceux-ci. Le gouvernement a donc très peu de contrôle sur la façon dont sont utilisées les ressources publiques investies et il peine à faire respecter ses conditions. Si l’on tient compte des trois critères d’accessibilité́ retenus par le ministère, on constate que seuls 17 % des GMF avaient en 2014 le nombre requis d’inscriptions, offraient eux-mêmes la totalité́ des heures d’ouverture requises et avaient un taux d’assiduité́ de 80 % ou plus. Et malgré les nouvelles mesures contraignantes imposées par le ministère depuis 2015, près du tiers des GMF n’atteint toujours pas le taux d’assiduité requis », poursuit Mme Plourde.

    Enfin, écrit la chercheure, si le ministère de la Santé et son titulaire, le Dr Gaétan Barrette, désirent réellement agir pour prévenir les maladies plutôt que simplement les traiter, ce sont les CLSC qui sont les mieux placés pour y parvenir. Une autre raison, probablement, pour faire coexister les deux entités, voire d’envisager un retour en arrière dans ce domaine.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    14 août 2022

    Les enfants, la cible de choix des cigarettiers

    9 août 2022

    Des pathogènes dans de l’ADN pourraient expliquer la chute de deux civilisations antiques

    9 août 2022

    Aider ses enfants avec leurs devoirs n’aurait pas d’impact sur les résultats scolaires

    Pieuvre.ca
    • Site web
    • Facebook
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Visitez notre boutique
    Vous cherchez un contenu?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    19 août 2022

    En ville, un bon salaire signifie une meilleure protection contre la pollution sonore

    18 août 2022

    Les jeunes Allemands craignent la guerre et la crise climatique, mais pas la COVID

    18 août 2022

    Un nouveau cycle pour UCC Dolores

    18 août 2022

    L’érotisme latent de Passion simple

    18 août 2022

    Quand la désinformation sur la COVID ciblait les femmes enceintes

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.