Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
      • Fil de presse fourni par Cision – Français
      • Newswire provided by Cision – English
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Dons
    Pieuvre.ca
    Accueil»Science»Science et fiction, fiction et science: des aller-retour?
    La trilogie martienne de Kim Stanley Robinson fait partie de ces oeuvres de "Hard Sci-Fi" qui se veulent scientifiquement réalistes

    Science et fiction, fiction et science: des aller-retour?

    0
    Par Agence Science-Presse le 12 mai 2017 Science

    Il faut parfois des décennies aux scientifiques pour arriver à une technologie permettant à la science de surpasser la fiction. Dès 1953 par exemple, l’écrivain Isaac Asimov imaginait les voitures du futur qui se conduiraient d’elles-mêmes. Encore aujourd’hui, « les scientifiques se servent régulièrement de la fiction pour inspirer leurs recherches », affirmait André Moreau, physicien au Conseil national de recherches du Canada, lors d’un panel organisé le 5 mai dans le cadre des Journées internationales de la culture scientifique.

    Reste que si la fiction peut inspirer la science, le contraire est encore plus vrai, comme en témoignaient les auteurs de science-fiction présents à ce panel. Un avancement dans la recherche peut servir d’idée de départ d’une oeuvre littéraire, expliquait l’écrivaine québécoise Élisabeth Vonarburg; elle rappelle que certains auteurs ont ce que les amateurs nomment de la Hard Sci-Fi: ils tiennent à ce que leurs histoires collent de près aux connaissances scientifiques.

    L’auteur français Jean-Claude Dunyach est lui aussi d’accord pour dire que les avancements de la science servent souvent de canevas. Il raconte que ses premières oeuvres consistaient en des poèmes… expliquant des théories mathématiques.

    Selon le romancier et journaliste José Rodrigues Dos Santos, qui complétait la discussion, la fiction peut également servir d’exutoire quand la science a encore besoin de preuves pour confirmer ou infirmer une théorie. « La science est l’instrument le plus puissant que nous avons présentement pour comprendre notre monde, mais elle a ses limites », dit-il. Au contraire de la science, la fiction n’est pas limitée par les lois de la nature…

    Le gros avantage de la science-fiction, disent-ils tous, c’est que comme toute forme d’art, elle carbure à l’émotion. Cela permet de créer un contact entre la science et le grand public. « Ce qui rend l’art ou le sport si populaire, ce sont les émotions qu’ils suscitent. Il faut arriver à faire pareil avec la science », soutient M. Dunyach. À cela, Mme Vonarburg répond que l’émerveillement et la fascination que peut susciter la science sont justement des émotions puissantes sur lesquelles miser. M. Moreau conclut en soulignant que la science offre une stimulation intellectuelle qui peut être renouvelée à l’infini.

    Intitulé Science et Fiction, le meilleur des deux mondes, ce panel annonçait également Science et Fiction, le thème de l’édition annuelle des 24 heures de science, un ensemble d’activités pour le grand public qui auront lieu les 12 et 13 mai à travers le Québec.

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    20 mai 2022

    Un jour, des astronautes pourraient boire de l’eau provenant de volcans lunaires

    17 mai 2022

    Les gènes des premiers fermiers

    17 mai 2022

    Plantes lunaires

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Vues d’Afrique
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    20 mai 2022

    La majorité des joueurs témoins de racisme et de discours haineux

    20 mai 2022

    La faim fait des ravages en Afrique de l’Est

    20 mai 2022

    Un jour, des astronautes pourraient boire de l’eau provenant de volcans lunaires

    19 mai 2022

    Séance cinéma – Riders of Justice, humour et massacre au Danemark

    19 mai 2022

    Danse – Jésus, le superhéros

    Fil de presse fourni par Cision
    Newswire provided by Cision
    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.