Pieuvre.ca
    Facebook X (Twitter) Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Société»Jeux de société»Codenames: peu de mots, beaucoup de plaisir
    Photo: Iello

    Codenames: peu de mots, beaucoup de plaisir

    0
    Par Hugo Prévost le 29 juin 2016 Jeux de société

    Hugo Prévost

    Un bon jeu de société tient souvent à peu de choses: un concept suffisamment original et des règles facilement compréhensibles. S’il est possible de corser quelque peu la chose et d’en retirer un plaisir plus cérébral, des titres comme Codenames représentent une porte d’entrée fantastique pour petits et grands.

    Mis au point par Vlaada Chvátil, Codenames, publié par Czeh Games Edition (et édité en français chez Iello), tourne autour d’une idée fort simple: faire deviner le plus grand nombre de mots possible tout en réduisant au minimum les indices fournis.

    Deux équipes, les rouges et les bleus, s’affrontent ainsi autour d’un plateau formé de 25 cartes sur lesquelles sont inscrits les mots à trouver. La difficulté réside dans le fait que seuls certains d’entre eux feront gagner des points à l’une ou l’autre des équipes. Tour à tour, le maître de jeu de chaque équipe doit fournir un indice composé d’un mot et d’un chiffre, le premier étant un terme décrivant le plus grand nombre de mots à découvrir, et le second correspondant justement au nombre de mots décrits par l’indice.

    L’idée semble complexe sur papier – et les règles, peut-être inutilement obscures, viennent renforcer cette impression -, mais il suffit de jouer un premier tour pour comprendre à quel point Codenames est un jeu simple et particulièrement amusant. Le défi réside dans la nécessité de comprendre comment les membres de son équipe réfléchissent pour déterminer les mots exacts permettant d’amasser le plus de points. Attention, cependant, à ne pas faire en sorte que ces joueurs trouvent un mot de l’équipe adverse! Si cela se produit, le point est attribué à ces derniers. Pire encore, un assassin (le jeu s’appuie sur le concept de l’espionnage) se cache quelque part sur le plateau. Les maîtres de jeu de chaque équipe savent où il se trouve, tout comme ils connaissent exactement l’emplacement des mots à découvrir, mais les joueurs l’ignorent. Suffit de démasquer cet assassin pour que la partie se termine instantanément et que l’équipe adverse l’emporte automatiquement.

    Conçu pour des groupes allant de 2 à 12 joueurs, mais recommandé pour un minimum de quatre personnes, Codenames est un excellent jeu familial. Drôle, juste assez exigeant sur le plan intellectuel pour faire réfléchir sans condamner certaines personnes au rôle de spectateur, le titre se joue en une quinzaine de minutes par partie, et se décline dans une boîte de bonne qualité. La facture visuelle des cartes est également fort intéressante, et la multitude de combinaisons possibles lorsque vient le temps de créer un plateau de jeu assure une rejouabilité quasi-infinie. Dans le pire des cas, il suffirait de créer ses propres cartes en inscrivant des mots sur des morceaux de carton. Il y a fort à parier, également, que le jeu peut aisément se transposer dans une multitude de langues différentes. À se procurer sans faute.

    La copie de Codenames a été fournie par la boutique Le Valet d’coeur. 

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    20 août 2023

    Star Wars: The Deckbuilding Game, ou comment conquérir la galaxie en 30 minutes

    10 juillet 2023

    Les jeux de société, utiles pour apprendre les mathématiques

    20 juin 2023

    The Clone Wars: Pandemic dans une galaxie lointaine, très lointaine

    Hugo Prévost
    • Facebook
    • X (Twitter)

    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Montréal complètement cirque
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    29 septembre 2023

    Essence, pour un demi-siècle d’existence des Ballets Jazz de Montréal

    29 septembre 2023

    Après l’expansion du BRICS, une route pavée d’embûches

    29 septembre 2023

    Les parents québécois sont heureux… mais stressés

    28 septembre 2023

    L’IA, une conseillère scientifique?

    28 septembre 2023

    Lancement de saison réussi pour la Salle Bourgie

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.